Film « Mignonnes » sur Netflix : sexualisation des enfants et conditionnement à la pédocriminalité
Ce décryptage du film « Mignonnes » (« Cuties » en anglais) nous montre la façon dont le film amène progressivement, et de façon subliminale, le spectateur à accepter l’idée que la pédophilie est une chose « normale » et « sans conséquence ».

Sorti le 22 août 2020 au cinéma et diffusé via Netflix, le film a fait l’objet de vives controverses aux États-Unis avant d’être retiré de la plateforme : il a notamment été accusé de promouvoir « l’exhibition obscène des parties génitales de mineures, sollicitant un intérêt lubrique pour le sexe ».
Soutenue par la ministre française de la Culture, Roselyne Bachelot, l’équipe du film a affirmé « entendre dénoncer la sexualisation précoce des jeunes filles, soumises à la dictature des apparences amplifiée par les réseaux sociaux ».
Alors, réflexion sur l’hypersexualisation ou conditionnement pédophilique ?
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que Netflix fait marche arrière après avoir publié un contenu, avant de subir les foudres de la critique. C’est également ce qu’il s’est passé récemment sur Twitter après la publication d’une image aux intentions plus que douteuses, pour faire la promotion d’une série, en évoquant le fait de « prier Satan » (« praise Satan »).

On ne peut pas dire que leurs intentions seraient cachées, surtout lorsque l’on sait que les actionnaires principaux de Netflix sont les plus grands gestionnaires d’actifs et de fonds de pension au monde, dont notamment The Capital Group Companies, BlackRock, The Vanguard Group et Morgan Stanley.
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