Abauzit & Von Hazel | Marthe Robin & Maria Valtorta

Depuis le faux concile Vatican II, les pseudos mystiques et possédés en tout genre pullulent à travers le monde. Mais ils ont, choses nouvelles, le soutien et l’approbation d’une autorité officielle : l’Église conciliaire.

Dans cette émission, Adrien Abauzit et Guillaume Von Hazel nous démontrent la supercherie des deux plus grandes idoles de la secte, à savoir : Marthe Robin et Maria Valtorta.

Marthe Robin naît dans la Drôme, au hameau des Moillés, lieu-dit « La Plaine », dépendance de Châteauneuf-de-Galaure, village de 1 200 habitants environ. Elle est le sixième et dernier enfant de Joseph-Michel Robin et Amélie-Célestine Chosson, agriculteurs, mariés en 1889. Ils exploitent une ferme dans laquelle travaille toute la famille, y pratiquant la polyculture. En 1903, Marthe est atteinte de la fièvre typhoïde, maladie qui emporte sa sœur Clémence. Elle-même échappe de peu à la mort et, après deux mois de maladie, entame son rétablissement. Elle restera fragile toute son enfance. Elle va à l’école publique, au bas du village de Châteauneuf-de-Galaure. Elle y restera jusqu’à l’âge de 13 ans, fréquentant le cours complémentaire qui va plus loin que l’école primaire. Souvent malade, elle ne passe finalement pas son certificat d’études primaires. Elle aide à la ferme familiale et participe à la vie du village. Sa personnalité est décrite par certains témoins comme celle d’une jeune fille « joyeuse, ouverte à l’avenir, serviable, volontiers taquine […] »

Maria Valtorta naît le 14 mars 1897 à Caserte, au nord de Naples, d’un père sous-officier de cavalerie, ce qui fait que la famille se déplace suivant ses affectations. Sa mère est enseignante de français, agnostique et n’aime pas sa fille car elle ne peut remplacer un fils mort très jeune. Maria est mise en nourrice et quasiment abandonnée par sa mère. De 1909 à 1913, elle est élève chez les sœurs de Marie-Enfant à Monza. En 1917, lors de la Première Guerre mondiale, elle s’enrôle comme infirmière à l’hôpital militaire de Florence. Maria Valtorta est deux fois fiancée, mais les prétendants sont évincés par sa mère possessive. En 1920, un délinquant la frappe violemment aux reins avec une barre de fer, ce qui sera à l’origine d’une infirmité croissante. En 1921, elle a également des phénomènes psychiques. En 1924, établie avec ses parents à Viareggio, sur la côte toscane, elle s’engage dans sa paroisse comme déléguée de l’Action catholique auprès de la jeunesse féminine, mais ses souffrances augmentent. Sa santé se détériore progressivement. Dès le printemps 1934, elle ne peut plus quitter son lit. En 1935, année de la mort de son père, elle rencontre Marta Diciotti qui devient sa meilleure amie et l’assistera jusqu’à sa mort. De 1943 à 1951, Maria Valtorta rédige environ quinze mille pages de cahiers qu’elle affirme écrire « sous la dictée du Saint-Esprit ». Selon son confesseur, Romualdo Migliorini (1884-1953), elle commence alors à se renfermer graduellement dans une sorte d’isolement psychique. Elle meurt le 12 octobre 1961 à l’âge de 64 ans.

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