François supprime le Motu Proprio Summorum Pontificum – Analyse de Guillaume Von Hazel

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Traditionis Custodes : François abroge Summorum Pontificum

Dès Janvier dernier, dans notre commentaire du violent rapport de la CEF contre les communautés indultistes de France, nous avions pressenti que la hiérarchie conciliaire se préparait à une offensive inédite contre la messe traditionnelle célébrée par les instituts jadis encadrés par le motu proprio « Ecclesia Dei ».

En Juillet 2007, le motu proprio « Summorum Pontificum » de Benoit XVI avait grandement libéralisé l’usage de la messe selon le missel de 1962 sous le nom de « rite romain extraordinaire ».

Depuis lors, les catholiques conciliaires de tendance traditionnaliste s’appuyèrent largement sur ce texte pour pratiquer le rite latin traditionnel, non seulement dans les instituts d’indults, mais aussi dans les diocèses.

Aujourd’hui, 16 Juillet 2021, en la fête de Notre Dame du Mont Carmel, François vient de publier un motu proprio ironiquement intitulé « Traditionis Custodes », qui abroge le motu proprio « Summorum Pontificum » et instaure des restrictions lourdes pour l’usage du rite de 1962.

Titre ironique en effet, puisqu’il signifie « gardiens de la tradition ». Mais en l’occurrence, François n’usurpe pas ce titre. Il faut simplement préciser que la tradition qu’il défend, c’est celle de Vatican 2.

Autant dire que cette annonce a eu l’effet d’une bombe dans tout le milieu catholique traditionnaliste, toutes tendances confondues.

Avant d’analyser le contenu de ce texte, il convient de faire quelques rappels.

Quelques rappels

Il faut rappeler en effet qu’à la suite de Vatican 2, et plus spécialement à la suite de la mise en place du rite Novus Ordo de Paul VI, le rite traditionnel de Saint Pie V avait été littéralement chassé de pratiquement toutes les paroisses du monde latin. C’est d’ailleurs de cette manière qu’est né le mouvement traditionnaliste, d’abord avec le CTM du Père Gommar De Pauw, puis avec la naissance des premières congrégations traditionnalistes telles que la Fraternité Saint Pie X ou la CMRI.

La résistance s’organisait également dans certains diocèses, notamment en France, où prêtres et fidèles refusaient d’abandonner le vrai rite romain pour le rite Novus Ordo de Paul VI. Telle est l’histoire de Port-Marly, de Saint Nicolas du Chardonnet ou encore de la paroisse de Thal-Drulingen en Alsace.

Dans les années 1980, le mouvement catholique traditionnaliste prenait de l’ampleur, en particulier sous la houlette de princes de l’Eglise comme Mgr. Lefebvre. Cependant, les sacres de Juin 1988 causèrent une disparité d’opinions au sein de la FSSPX. Un certain nombre de prêtres estimaient que la position de la FSSPX était de plus en plus proche du schisme effectif.

C’est dans ce cadre que Jean-Paul II publia en Juillet 1988 son motu proprio « Ecclesia Dei ». Il s’agissait d’une manoeuvre visant à récupérer une partie des traditionnalistes en leur aménageant un cadre juridictionnel et liturgique, à condition qu’ils acceptent les doctrines de Vatican 2, la messe de Paul VI, ainsi que les ordinations et sacres conciliaires. C’est de là que leur vient leur surnom de « ralliés ». Ce fait est d’ailleurs rappellé par François dans la lettre introduisant son motu proprio.

Il faut réaliser que la promulgation du motu proprio de Benoit XVI en 2007 a eu un impact tout particulier en libéralisant l’usage du missel de 1962 et autorisant dans les faits son utilisation par à peu près n’importe quel prêtre conciliaire diocésain, dès lors qu’un groupe de fidèles suffisamment large réclamait le rite latin traditionnel.

Cette initiative a objectivement contribué à attirer un grand nombre de catholiques, y compris de convertis, vers la Tradition. Dès lors, la messe traditionnelle était beaucoup plus disponible, beaucoup plus libre et accessible qu’auparavant.

Certes, il s’agissait avant tout d’une niche traditionnaliste au sein de l’église conciliaire, mais cela a tout de même paradoxalement permis à beaucoup de gens de se détacher des doctrines et de la pastorale purement moderniste.

Beaucoup de gens, en découvrant ainsi la Tradition, ont pu étudier la vraie doctrine catholique et parfois parvenir ensuite à des conclusions plus pertinentes et radicales en ce qui concerne Vatican 2 et l’église moderniste. Ce n’était évidemment pas l’effet recherché par Benoit XVI, mais dans les faits, c’est ce qui s’est passé dans un certain nombre de cas.

Cependant, en fonction des communautés, des instituts et des paroisses personnelles, un curieux mélange des genres s’opérait. Officiellement, ces communautés acceptaient pleinement Vatican 2, ainsi que le rite Paul VI. Officieusement, elles se détournaient mécaniquement du « chemin oecuménique » et du relativisme doctrinal des autorités modernistes.

Inévitablement, la Tradition catholique étant radicalement incompatible avec les doctrines de Vatican 2, beaucoup de prêtres et de fidèles se sont de plus en plus écartés, dans les faits, non seulement des doctrines de Vatican 2, mais aussi de la pastorale conciliaire, qu’elle vienne de Rome, ou qu’elle vienne de l’ordinaire local.

Analyse du Motu Proprio « Traditionis Custodes »

Le clergé moderniste ne pouvait pas tolérer plus longtemps la concurrence de ce mouvement traditionnaliste prenant de plus en plus d’ampleur au sein même de l’église concialiaire. Le phénomène a pu s’observer notamment en France et aux USA, où les entrées en séminaires se font majoritairement dans des instituts indultistes.

Ces dernières années, on observe également que même au sein des séminaires conciliaires diocésains, de plus en plus de jeunes aspirants s’engagent avec une approche ouvertement conservatrice ou traditionnaliste, en rupture complète avec les précédentes générations marquées plus directement par Vatican 2.

Enfin, le succès considérable des communautés indultistes et des messes en « rite extraordinaire » n’a échappé à personne. Beaucoup de jeunes convertis ou de baptisés revenus à la foi sur le tard, méprisaient instinctivement les messes modernistes pour leur préférer la grandeur et la dignité du rite traditionnel.

Clairement, en bientôt 14 ans, la situation devenait intenable pour la hiérarchie conciliaire diocésaine, ainsi que pour la curie moderniste à Rome.

C’est d’ailleurs tout le propos du violent rapport de la CEF de janvier dernier, qui qualifiait les fidèles des messes indultistes de « catholiques en marge du diocèse » et de vecteurs de « séparation de l’unité diocésaine », qui, en refusant le rite Paul VI, ou du moins en lui préférant le rite de 1962, montraient qu’ils rejetaient de facto la voie pastorale et doctrinale de Vatican 2.

C’est pourquoi François, dans sa lettre accompagnant son motu proprio, répète à de nombreuses reprise le mot « unité ».

Pour lui, ainsi que pour les membres de la CEF, il est clair que l’existence de deux rites aussi différents en nature et en forme au sein du monde latin est inacceptable.

François, après avoir rappelé les motivations des motu proprio de Jean-Paul II et de Benoit XVI, déclare ainsi que :

Les réponses [contenues dans les rapports concernant l’application du motu proprio Summorum Pontificum] révèlent une situation qui m’afflige et m’inquiète, confirmant donc la nécessité d’une intervention. Hélas, l’intention pastorale de mes prédécesseurs, qui était de « faire tous les efforts afin que ceux qui désirent vraiment l’unité puissent avoir la possibilité de demeurer dans cette unité ou de la retrouver », a souvent été sérieusement négligée.

Plus loin dans cette lettre, François ose la déclaration suivante :

Je suis tout aussi attristé par les abus des deux côtés [dans le rite Novus Ordo et dans le rite traditionnel] en ce qui concerne la célébration de la liturgie.

Puis il continue :

Cependant, je suis attristé par l’instrumentalisation du Missel Romain de 1962, laquelle se caractérise de plus en plus par un rejet grandissant, non seulement de la réforme liturgique, mais aussi du second concile du Vatican, sous le prétexte infondé et insoutenable que le concile aurait trahi la Tradition et la « Véritable Église ».

Ainsi, nous voyons très clairement que les conclusions de François sont à peu près les mêmes que celles exprimées par les autorités conciliaires de la Conférence Episcopale de France, qui constataient avec effroi que les catholiques fréquentant les messes d’indult devenaient de plus en plus intransigeants sur la doctrine catholique, et rejetaient donc de plus en plus ouvertement les doctrines de Vatican 2, ainsi que la messe Paul VI.

Ainsi, l’article 1 de Traditionis Custodes affirme que :

Les livres liturgiques promulgués par Saint Paul VI et Saint Jean-Paul II, en conformité avec les décrets du concile de Vatican 2, sont l’unique expression de la lex orandi du rite romain.

Les mots sont forts : François confirme ici que le rite Novus Ordo est donc l’unique expression légitime et légale de la liturgie catholique romaine.

Cependant, l’usage du rite de 1962 n’est pas exactement aboli pour autant. Enfin, en quelque sorte.

Disons que son usage sera rendu pratiquement impossible pour les diocésains ou pour le clergé des instituts indultistes, à quelques exceptions près et à la condition expresse de se soumettre à des restrictions et à un contrôle extrêmement lourd.

En effet, le droit de continuer à célébrer le rite de 1962 sera désormais totalement soumis au bon vouloir de l’évêque conciliaire local, et surtout au jugement des autorités modernistes à Rome.

Ainsi, les articles 2, 4, 5, 6 et 7 du motu proprio déclarent que désormais :

2. Il est de la compétence exclusive de l’évêque diocésain d’autoriser l’usage du Missel Romain de 1962 dans son diocèse, en fonction des recommandations du Siège Apostolique.

4. Les prêtres ordonnés après la publication de ce présent Motu Proprio et qui désirent célébrer en utilisant le Missel Romain de 1962, doivent soumettre une demande formelle auprès de l’évêque diocésaine qui consultera alors le siège apostolique avant d’accorder une autorisation.

5. Les prêtres qui célèbrent déjà selon le Missel de 1962 devront obtenir une autorisation de l’évêque diocésain pour pouvoir continuer de jouir de cette faculté.

6. Les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, érigés par la commission pontificale Ecclesia Dei, sont placés sous la compétence de la Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée et les Sociétés de Vie Apostolique.

7. La Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, ainsi que la Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée et les Sociétés de Vie Apostolique, dans la mesure de leurs compétences particulières, exercent l’autorité du Saint Siège pour ce qui concerne le respect et l’application de ces dispositions.

Notons aussi que l’article 3 déclare que :

L’évêque du diocèse dans lequel il existe un ou plusieurs groupes qui célèbrent selon le missel d’avant la réforme de 1970, examinera si ces groupes contestent la validité et la légitimité de la réforme liturgique instaurée par Vatican 2 et par le Magistère des Souverains Pontifes ;

…désignera un ou plusieurs endroits dans lesquels les fidèles de ces groupes pourront se réunir pour la célébration eucharistiques (ils ne pourront cependant pas se réunir dans les églises paroissiales, ni par l’érection de nouvelles paroisses personnelles) ;

…établira, dans les lieux désignés, les jours durant lesquels les célébrations eucharistiques seront permises selon le missel romain promulgué par Saint Jean XXIII en 1962. Dans ces célébrations, les lectures seront faites en langage vernaculaire, en utilisant les traductions de l’Ecriture Sainte approuvées pour l’usage liturgique par les conférences épiscopales respectives ;

…commissionnera un prêtre qui, en tant que délégué de l’évêque, aura la charge de ces célébrations et de la supervision pastorale de ces groupes de fidèles ;

…vérifiera que les paroisses canoniquement établies pour le bienfait de ces fidèles sont spirituellement efficaces pour ces derniers, et déterminera s’il convient de les conserver ou pas ;

…veillera à ne pas autoriser l’établissement de nouveaux groupes.

En clair, le clergé diocésain célébrant la messe de 1962, de même que le clergé des instituts Ecclesia Dei, seront totalement soumis aux ordinaires conciliaires et à la curie moderniste.

Autant dire que dans l’immense majorité des cas et des lieux, nous risquons fort d’assister à des refus massifs d’autorisations de célébrer le rite traditionnel, ainsi qu’à des suppressions pures et simples de groupes de fidèles attachés au rite latin traditionnel.

En effet, les deux congrégations curiales chargés d’accorder ou de refuser les autorisations, sont tenues en grande partie pour de fervents modernistes. Depuis le départ de Robert Sarah le 27 mai dernier (lequel était plutôt favorable aux conciliaires tradis), la Congrégation pour le Culte Divin est désormais sous la direction d’Arthur Roche, évêque conciliaire de Leeds. Or, ce prélat n’est pas exactement connu pour être un défenseur de la Tradition. Quant à la Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée, elle est dirigée depuis 2011 par le cardinal conciliaire Joao Braz de Aviz.

Mais que ces prélats soient favorables ou tolérants à l’endroit des communautés indultistes ou de la messe de 1962, ne change pas grand’ chose. Tout porte à croire qu’ils appliqueront froidement les directives du motu proprio de François.

Notez d’ailleurs que ce dernier a pour une fois fait preuve d’un style très direct, concis et explicite, qui tranche avec la longueur et la confusion qui caractérisent habituellement ses encycliques.

Les choses sont donc claires : François veut en finir avec l’actuel bi-ritualisme. Son objectif est faire rentrer dans le rang tout le mouvement traditionaliste rallié, de lui faire pratiquer le rite Paul VI et de lui faire accepter, dans la pratique, les doctrines et la pastorale de Vatican 2.

Encore une fois, les autorités modernistes ne sont ni stupides, ni aveugles (du moins en la matière). Elles savent très bien que tolérer l’existence des communautés indultistes et des messes traditionnelles dans l’église conciliaire, c’est faire cohabiter deux rites, deux doctrines, deux types de foi radicalement différentes et incompatibles.

Comment vont réagir les Catholiques affectés par ce Motu Proprio ?

Naturellement, même si des rumeurs circulaient depuis quelques semaines, la parution de cette encyclique a fait l’effet d’une bombe auprès des fidèles de ces communautés.

Beaucoup d’entre eux sont proprement stupéfaits. Ils ne comprennent pas comment cela est possible. Eux qui priaient pour François, récemment hospitalisé, se sentent trahis.

Eux qui se sont efforcés de demeurer fidèles aux papes de l’église moderniste, se retrouvent donc en passe d’être chassés de leurs diocèses comme de vulgaires schismatiques, alors que la hiérarchie conciliaire qui les condamne aujourd’hui est la même hiérarchie qui invite les imams à chanter les louanges de Mohammed dans les églises, les danses hindoues dans les cathédrales et concélèbre avec les ministres protestants à la moindre occasion.

Se faire sermonner sur l’unité par une telle hiérarchie, passe évidemment très mal pour ces fidèles de bonne foi.

Mais il est aussi peut-être temps pour eux d’admettre que tout ceci n’est que le fruit amer de Vatican 2.

Ce matin, sur les réseaux sociaux, c’est donc la confusion la plus complète chez nos pauvres amis ralliés.

Je dois dire que malgré nos divergences, cette situation me fait bien de la peine pour eux.

Certes, nous pourrions dire que nous les avions prévenus. Bien avant nous, le père Cekada avait déjà annoncé tout ce qui se produit actuellement.

La question est donc la suivante : Que vont donc faire les ralliés ? Où iront-ils à la messe ce dimanche ?

En effet, le motu proprio de François prend effet immédiatement (Benoit XVI avait au moins laissé un délai de 2 mois avant l’application de son motu proprio).

Vont-ils se rabattre vers les messes de rite byzantin ou maronite ? Ou bien celles de la Fraternité Saint Pie X ? Ou peut-être même vers les messes sédévacantistes ?

Dans tous les cas, ils vont devoir très rapidement faire un choix. Et ce choix ne pourra plus être d’ordre esthétique ou sentimental, comme Summorum Pontificum le permettait. Ce choix devra être motivé par la Foi et par la raison. Et il n’y a pas 36 solutions à ce problème.

1ere Solution : Se rendre dans une messe de rite byzantin ou maronite. Mais ce serait sans doute trop dépaysant, et même irrégulier, puisque l’immense majorité de ces fidèles ne sont pas d’origine ou de tradition orientale.

2e solution : Se rendre dans une messe Saint Pie X. Mais ce serait également un changement radical pour eux. En effet, les ralliés se sont précisément ralliés à Rome par esprit d’obéissance. Contrairement à la FSSPX, qui rejette toute soumission effective à Rome à cause de Vatican 2, tout en reconnaissant toutefois les papes conciliaires comme de vrais papes, les ralliés considèrent que Vatican 2 ne contient pas vraiment d’erreurs ou d’hérésies, et que par conséquent, ils n’ont aucune raison de se soustraire à ceux qu’ils considèrent comme les autorités légitimes de l’Eglise. En cela, bien qu’ils se trompent sur l’orthodoxie de Vatican 2, il faut dire que leur position a été jusqu’ici plus cohérente que celle de la FSSPX, du moins sur cette question.

3e solution : Se rendre dans une messe sédévacantiste, ce qui implique donc au final, de conclure à la position éponyme. Ce serait assurément l’une des solutions les plus logiques pour les catholiques ralliés, puisqu’ils partagent avec les catholiques sédévacantistes une approche ultramontaine de la question papale, malgré leurs différences. Il est également possible qu’un certain nombre de ralliés se mettent à fréquenter les messes sédévacantistes, sans forcément adhérer à la position elle-même.

Quoiqu’il en soit, les catholiques qui fréquentaient jusque-là les messes indultistes devront faire un choix, et vite.

Autrement, l’autre solution logique devra être pour eux de se rendre à la messe Paul VI de leur paroisse locale. Tout simplement.

Bien sûr, tout ceci va dépendre des autorisations ou des refus qui seront prochainement promulguées par les autorités conciliaires, diocésaines et romaines. La question est de savoir combien de temps ce processus prendra-t-il ?

À mon avis, les décisions seront prises promptement. Clairement, les autorités modernistes ne veulent pas perdre de temps.

Sans doute que dans certains diocèses, les indultistes bénéficieront de soutiens de la part de certains évêques conciliaires qui leur ont toujours été favorables. Mais il faudra quand même obtenir l’avis de la curie, ce qui sera moins évident. Et il y a fort à penser que la plupart de ces évêques se coucheront immédiatement dès le premier refus venu de Rome.

Mais dans le reste des diocèses, majoritairement tenus par un clergé typiquement moderniste, il y a fort à penser que les indultistes et les diocésains pratiquant la messe traditionnelle, se verront persécutés à la fois par l’évêque local, ainsi que par la curie.

Accédez à l’article du Fidepost : https://fidepost.com/2021/07/16/traditionis-custodes-francois-abroge-summorum-pontificum/

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