Sainte fête de l’Assomption

Assomption de la très Sainte Vierge

Assomption de la très Sainte Vierge vers l’an 57

Cette fête a pour objet de célébrer à la fois la bienheureuse Mort, la glorieuse Résurrection et la triomphante Assomption de la très Sainte Vierge au Ciel.

Jésus avait souffert la mort pour racheter le monde; Marie, dans le plan de la Providence, devait suivre Son divin Fils et mourir. Mais Sa mort ne ressembla en rien à celle du commun des hommes; elle eut pour unique cause l’excès de Son amour et de Ses désirs; elle ne fut accompagnée d’aucune douleur, ni suivie de la corruption du tombeau. Jésus devait tous ces privilèges à Sa sainte Mère.

La tradition rapporte que les Apôtres, dispersés dans l’univers pour prêcher l’Évangile, se trouvèrent miraculeusement réunis autour du lit de mort de Celle qui avait présidé à la naissance et aux premiers développements de l’Église. Trois jours après la mort de Marie, visitant le virginal tombeau avant de se séparer, ils furent les heureux témoins d’une grande merveille. On entendit dans les airs d’harmonieux cantiques; un parfum délicieux s’exhalait du tombeau de Marie; et lorsqu’on l’eut ouvert, on n’y trouva que des fleurs fraîches et vermeilles: les Anges avaient transporté dans les Cieux, en corps et en âme, la Mère du Sauveur.

On ne peut que soupçonner ici bas avec admiration l’accueil qui fut fait à Marie par la Très Sainte Trinité, à laquelle Elle avait été associée d’une manière si sublime dans le mystère du salut des hommes, par Jésus-Christ Son Fils bien-aimé, par les légions des Anges, les Patriarches, les Prophètes, tous les Saints de l’Ancien Testament et les élus de la loi nouvelle. Les plus grands serviteurs de Marie, dans leurs contemplations, se sont plu à dépeindre Son triomphe incomparable, Son couronnement, Sa gloire en ce grand jour.

Mais le triomphe et la gloire de Marie sont éternels. La fête de l’Assomption, outre Sa mort toute sainte, Sa Résurrection et Son couronnement, célèbre Sa royauté toute-puissante. Elle est la Reine du Ciel, la Reine des Anges et des Saints, la Reine de l’Église terrestre, la Reine de l’Église du Purgatoire; et c’est Elle que David a dépeinte dans ses Psaumes: « La Reine S’est assise à Votre droite, couverte d’un manteau d’or, environnée et tout étincelante des richesses les plus variées. » L’Assomption de Marie réclamait une définition de foi: l’Église a proclamé ce dogme le 1er novembre 1950. Gloire à Marie!

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l’année, Tours, Mame, 1950

Renouvellement du vœux de Louis XIII

Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.
Ainsi soit-il. Très douce Vierge Marie, qui avez jadis inspiré au Roi Louis XIII de vous consacrer sa personne, son royaume et ses sujets, daignez continuer d’étendre sur notre personne, notre famille, notre paroisse, notre diocèse et notre Patrie, la France, votre protection maternelle.
Nous aussi, et davantage que le pieux Roi, nous sommes en butte aux épreuves, aux divisions, aux révoltes et aux erreurs. Le démon et le monde mènent contre la Sainte Eglise, contre la Royauté de votre Fils, contre les familles chrétiennes et contre nos âmes fragiles, une guerre sans merci, cherchant à détruire tout ce qui glorifie Dieu et tout ce qui est soumis à Sa Sainte Volonté.
Le monde entier souffre de famine spirituelle, et il n’est presque plus personne pour prêcher la Vérité et répandre la grâce des sacrements. Les erreurs et le péché règnent partout, jusque dans le sanctuaire, et la foi de vos enfants est sans cesse menacée par des pasteurs indignes qui renient par leurs paroles ou par leurs actes l’Evangile de votre Divin Fils. C’est pourquoi nous nous tournons vers vous avec ferveur et grande confiance, et nous venons à vos pieds nous consacrer à vous.
Conservez en notre intelligence la foi catholique dans son intégrité, et donnez-nous la grâce d’en porter témoignage.
Ranimez en notre cœur l’espérance, afin que nous désirions contempler la Trinité Sainte et vous-même dans le Ciel, et que nous demandions humblement à Dieu la fidélité qui y conduit.
Répandez en notre âme votre charité, pour qu’en toutes choses nous imitions vos vertus et suivions votre exemple.
Rétablissez dans notre patrie et dans ce qui fut la Chrétienté le règne de Jésus-Christ : que les institutions et les mœurs soient animées et réglées par la Sainte Loi de Dieu.
Avec vous et par votre intercession, ô Notre-Dame et notre Souveraine, nous voulons ici-bas travailler à la gloire de Dieu, et en jouir dans l’éternité. Ainsi soit-il.

Textes de la Messe après 1950

die 15 augustile 15 août
IN ASSUMPTIONE B. M. V.ASSOMPTION DE LA Bse VIERGE MARIE
I classis (ante CR 1960 : duplex I classis cum Octava communi)Ière classe (avant 1960 : double de Ière classe avec Octave commun)
Ant. ad Introitum. Ap. 12, 1.Introït
Signum magnum appáruit in cælo : múlier amicta sole, et luna sub pédibus eius, et in cápite eius coróna stellárum duódecim.Il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête.
Ps. 97, 1.
Cantáte Dómino cánticum novum : quóniam mirabília fecit.Chantez au Seigneur un cantique nouveau : car il a fait des merveilles.
V/. Glória Patri.
Oratio.Collecte
Omnípotens sempitérne Deus, qui Immaculátam Vírginem Maríam, Fílii tui genitrícem, córpore et ánima ad cæléstem glóriam assumpsísti : concéde, quǽsumus ; ut, ad superna semper inténti, ipsíus glóriæ mereámur esse consórtes. Per eúndem Dóminum.Dieu éternel et tout-puissant, vous avez élevé, en son corps et en son âme, à la gloire du ciel, Marie, la Vierge immaculée, mère de votre Fils : faites, nous vous en prions, que, sans cesse tendus vers les choses d’en-haut, nous méritions d’avoir part à sa gloire.
Léctio libri Iudith.Lecture du Livre de Judith.
Iudith. 13, 22-25 ; 15, 10.
Benedíxit te Dóminus in virtúte sua, quia per te ad níhilum redégit inimícos nostros. Benedícta es tu, fília, a Dómino Deo excelso, præ ómnibus muliéribus super terram. Benedíctus Dóminus, qui creávit cælum et terram, qui te direxit in vúlnera cápitis príncipis inimicórum nostrórum ; quia hódie nomen tuum ita magnificávit, ut non recédat laus tua de ore hóminum, qui mémores fúerint virtútis Dómini in ætérnum, pro quibus non pepercísti ánimæ tuæ propter angústias et tribulatiónem géneris tui, sed subvenísti ruínæ ante conspéctum Dei nostri. Tu glória Ierúsalem, tu lætítia Israël, tu honorificéntia pópuli nostri.Le Seigneur t’a bénie dans sa force, car par toi il a réduit à néant tous nos ennemis. Ma fille, tu es bénie par le Seigneur, le Dieu très haut, plus que toutes les femmes qui sont sur la terre. Béni soit le Seigneur, créateur du ciel et de la terre, qui a conduit ta main pour trancher la tête au plus grand de nos ennemis ! Il a rendu aujourd’hui ton nom si glorieux, que ta louange ne disparaîtra pas de la bouche des hommes, qui se souviendront éternellement de la puissance du Seigneur ; car, en leur faveur, tu n’as pas épargné ta vie en voyant les souffrances et la détresse de ta race, mais tu nous as sauvés de la ruine en marchant dans la droiture en présence de notre Dieu. Tu es la gloire de Jérusalem ; tu es la joie d’Israël ; tu es l’honneur de notre peuple.
Graduale. Ps. 44, 11-12 et 14.Graduel
Audi, fília, et vide, et inclína aurem tuam, et concupíscet rex pulchritúdinem tuam.Écoutez, ma Fille, voyez et tendez l’oreille : le Roi désirera votre beauté.
V/. Tota decóra ingréditur fília Regis, textúræ áureæ sunt amíctus eius.V/. Toute belle s’avance la fille du Roi, son vêtement est fait de tissus d’or.
Allelúia, allelúia. V/. Assumpta est María in cælum : gaudet exércitus Angelórum. Allelúia.Allelúia, allelúia. V/. Marie a été élevée dans les Cieux : l’armée des Anges se réjouit. Alléluia.
+ Sequéntia sancti Evangélii secúndum Lucam.Suite du Saint Évangile selon saint Luc.
Luc. 1, 41-50.
In illo témpore : Repléta est Spíritu Sancto Elisabeth et exclamávit voce magna, et dixit : Benedícta tu inter mulíeres, et benedíctus fructus ventris tui. Et unde hoc mihi ut véniat mater Dómini mei ad me ? Ecce enim ut facta est vox salutatiónis tuæ in áuribus meis, exsultávit in gáudio infans in útero meo. Et beáta, quæ credidísti, quóniam perficiéntur ea, quæ dicta sunt tibi a Dómino. Et ait María : Magníficat ánima mea Dóminum ; et exsultávit spíritus meus in Deo salutári meo ; quia respéxit humilitátem ancíllæ suæ, ecce enim ex hoc beátam me dicent omnes generatiónes. Quia fecit mihi magna qui potens est, et sanctum nomen eius, et misericórdia eius a progénie in progénies timéntibus eum.En ce temps-là : Élisabeth fut remplie du Saint-Esprit et elle s’écria à haute voix, disant : « Vous êtes bénie entre les femmes, et le fruit de vos entrailles est béni. Et d’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne à moi ? Car votre voix, lorsque vous m’avez saluée, n’a pas plus tôt frappé mes oreilles, que l’enfant a tressailli de joie dans mon sein. Heureuse vous qui avez cru ! Car elles seront accomplies les choses qui vous ont été dites de la part du Seigneur ! ». Et Marie dit : « Mon âme glorifie le Seigneur, et mon esprit tressaille de joie en Dieu, mon Sauveur, parce qu’il a jeté les yeux sur la bassesse de sa servante. Voici, en effet, que désormais toutes les générations me diront bienheureuse, parce que le Puissant a fait pour moi de grandes choses. Et son nom est saint, et sa miséricorde d’âge en âge pour ceux qui le craignent ».
Credo
Ant. ad Offertorium. Gen. 3, 15.Offertoire
Inimicítias ponam inter te et mulíerem, et semen tuum et semen illíus.Je mettrai une hostilité entre toi et la femme, entre ton lignage et le sien.
SecretaSecrète
Ascéndat ad te, Dómine, nostræ devotiónis oblátio, et, beatíssima Vírgine María in cælum assumpta intercedénte, corda nostra, caritátis igne succénsa, ad te iúgiter ádspirent. Per Dóminum.Que cette offrande de notre dévotion monte jusqu’à vous, Seigneur, et que par l’intercession de la très bienheureuse Vierge Marie, élevée au ciel, nos cœurs, brûlants du feu de la charité, soient constamment tendus vers vous.
Præfatio de B. Maria Virg. Et te in Assumptióne.Préface de la bienheureuse Vierge Marie Et, en ce jour de l’Assomption de la Bse…
Ant. ad Communionem. Luc. 1, 48-49.Communion
Beátam me dicent omnes generatiónes, quia fecit mihi magna qui potens est.Toutes les générations me diront bienheureuse, parce que le Puissant a fait pour moi de grandes choses.
PostcommunioPostcommunion
Sumptis, Dómine, salutáribus sacraméntis : da, quǽsumus ; ut, méritis et intercessióne beátæ Vírginis Maríæ in cælum assúmptæ, ad resurrectiónis glóriam perducámur. Per Dóminum nostrum.Ayant reçu le sacrement du salut, nous supplions, Seigneur, par les mérites et l’intercession de la bienheureuse Marie, élevée au ciel, de nous faire parvenir à la gloire de la résurrection.

Textes de la Messe avant 1950

die 15 augustile 15 août
IN ASSUMPTIONE B. M. V.ASSOMPTION DE LA Bse VIERGE MARIE
duplex I classis cum Octava communidouble de Ière classe avec Octave commun
Ant. ad Introitum.Introït
Gaudeámus omnes in Dómino, diem festum celebrántes sub honóre beátæ Maríæ Vírginis, de cuius Assumptióne gaudent Angeli et colláudant Fílium Dei.Réjouissons-nous ensemble dans le Seigneur, car la fête que nous célébrons aujourd’hui est celle de la bienheureuse Vierge Marie : son Assomption réjouit les Anges et tous en chœur louent le Fils de Dieu.
Ps. 44, 2.
Eructávit cor meum verbum bonum ; dico ego opéra mea Regi.De mon cœur a jailli une excellente parole : c’est que j’adresse mes œuvres à un roi.
V/. Glória Patri.
Oratio.Collecte
Famulórum tuórum, quǽsumus, Dómine, delíctis ignósce : ut, qui tibi placére de áctibus nostris non valémus ; Genitrícis Fílii tui, Dómini nostri, intercessióne salvémur : Qui tecum vivit.Nous supplions, Seigneur, de pardonner les fautes de vos serviteurs : et dans l’impuissance où nous sommes de vous plaire par nos propres mérites, accordez-nous d’être sauvés par l’intercession de la Mère de votre Fils, notre Seigneur, qui, étant Dieu, vit et règne.
Léctio libri Sapiéntiæ.Lecture du Livre de la Sagesse.
Eccli. 24, 11-13 et 15-20
In ómnibus réquiem quæsívi, et in hereditáte Dómini morábor. Tunc præcépit et dixit mihi Creátor ómnium : et qui creávit me, requiévit in tabernáculo meo, et dixit mihi : In Iacob inhábita, et in Israël hereditáre, et in eléctis meis mitte radíces. Et sic in Sion firmáta sum, et in civitáte sanctificáta simíliter requiévi, et in Ierúsalem potéstas mea. Et radicávi in pópulo honoriticáto, et in parte Dei mei heréditas illíus, et in plenitúdine sanctórum deténtio mea. Quasi cedrus exaltáta sum in Líbano, et quasi cypréssus in monte Sion. Quasi palma exaltáta sum in Cades, et quasi plantátio rosæ in Iericho. Quasi olíva speciósa in campis, et quasi plátanus exaltáta sum iuxta aquam in platéis. Sicut cinnamómum et bálsamum aromatízans odórem dedi : quasi myrrha elécta dedi suavitátem odóris.J’ai cherché partout le repos, et j’ai voulu demeurer dans l’héritage du Seigneur. Alors le Créateur de toutes choses m’a parlé et fait connaître sa volonté ; et lui, qui m’a créée, s’est reposé dans mon tabernacle. Et il m’a dit : « Habitez en Jacob, et qu’Israël soit votre héritage, et prenez racine dans mes élus. » Et c’est ainsi que je me suis affermie dans Sion. J’ai donc trouvé mon repos dans la cité sainte, et ma puissance est établie dans Jérusalem. J’ai pris racine dans le peuple honoré du Seigneur, dans le peuple héritage de mon Dieu, et ma demeure est dans la plénitude des Saints. Je me suis élevée comme le cèdre au Liban, comme le cyprès de la montagne de Sion. Je me suis élevée comme le palmier en Cadès, et comme en Jéricho les plants des rosiers. Je me suis élevée comme un bel olivier dans la plaine, comme le platane sur les places au bord des eaux. J’ai donné mon parfum comme le cinnamome et le baume odorant ; comme une myrrhe de choix j’ai donné ma senteur.
Graduale. Ps. 44, 5, 11 et 12.Graduel
Propter veritátem, et mansuetúdinem, et iustítiam, et dedúcet te mirabíliter dextera tua.Pour la vérité, la douceur et la justice, et que ta droite te fasse accomplir des faits merveilleux.
V/. Audi, fília, et vide, et inclína aurem tuam : quia concupívit Rex spéciem tuam.V/. Écoutez, ma Fille, voyez et tendez l’oreille : le Roi a désiré votre beauté.
Allelúia, allelúia. V/. Assumpta est María in cælum : gaudet exércitus Angelórum. Allelúia.Allelúia, allelúia. V/. Marie a été élevée dans les Cieux : l’armée des Anges se réjouit. Alléluia.
+ Sequéntia sancti Evangélii secúndum LucamSuite du Saint Évangile selon saint Luc.
Luc. 10, 38-42.
In illo témpore : Intrávit Iesus in quoddam castéllum : et múlier quædam, Martha nómine, excépit illum in domum suam : et huic erat soror nómine María, quæ étiam sedens secus pedes Dómini, audiébat verbum illíus. Martha autem satagébat circa frequens ministérium : quæ stetit et ait : Dómine, non est tibi curæ, quod soror mea réliquit me solam ministráre ? dic ergo illi, ut me ádiuvet. Et respóndens, dixit illi Dóminus : Martha, Martha, sollícita es et turbáris erga plúrima : porro unum est necessárium. María óptimam partem elégit, quæ non auferétur ab ea.En ce temps-là : Jésus entra dans un certain bourg, et une femme, nommée Marthe, le reçut dans sa maison. Elle avait une sœur, appelée Marie, qui, s’étant même assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole. Marthe, qui était occupée par maint service, se présenta, disant : « Seigneur, vous n’avez cure que ma sœur me laissait seule faire le service ? Dites-lui donc de m’aider ». Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu agites pour beaucoup de choses ! Or il n’est besoin que de peu de choses ou d’une seule. Marie en effet a choisi la bonne part, qui ne lui sera point ôtée ».
Credo
Ant. ad Offertorium.Offertoire
Assúmpta est María in cælum : gaudent Angeli, collaudántes benedícunt Dóminum, allelúia.Marie a été élevée au ciel : les Anges se réjouissent, ils louent à l’envi et bénissent le Seigneur. Alléluia.
SecretaSecrète
Subvéniat, Dómine, plebi tuæ Dei Genitrícis orátio : quam etsi pro condicióne carnis migrásse cognóscimus, in cælésti glória apud te pro nobis intercédere sentiámus. Per eúmdem Dóminum nostrum.Que votre peuple trouve son secours, Seigneur, dans la prière de la Mère de Dieu : suivant la condition de toute chair, elle a quitté ce monde : puissions-nous ressentir les effets de son intercession pour nous dans la gloire des cieux.
Præfatio de B. Maria Virg. Et te in Assumptióne.Préface de la bienheureuse Vierge Marie Et, en ce jour de l’Assomption de la Bse…
Ant. ad Communionem. Luc. 10, 42.Communion
Optimam partem elégit sibi María, quæ non auferétur ab ea in ætérnum.Marie a choisi pour elle la meilleure part, qui ne sera jamais enlevée.
PostcommunioPostcommunion
Mensæ cæléstis partícipes effécti, implorámus cleméntiam tuam, Dómine, Deus noster : ut, qui Assumptiónem Dei Genitrícis cólimus, a cunctis malis imminéntibus, eius intercessióne, liberémur. Per eúmdem Dóminum.Rendus participants de la table céleste, nous implorons, Seigneur notre Dieu, votre clémence ; puissions-nous, célébrant l’Assomption de la Mère de Dieu, être délivrés par son intercession de tous les maux qui nous menacent.

AJOUTEZ VOTRE COURRIEL POUR RECEVOIR NOS ACTUALITÉS

Catholiques de France

Catholiques de France

Ce site a pour ambition de défendre le magistère et la Foi Catholique dans son intégralité et sans concession, dans un esprit de foi et de charité. Notre devise : Pour sauver la France éternelle conservons la Foi de nos pères.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *