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One thought on “Abbé Guépin : Entretien avec un prêtre réfractaire à la Révolution française et à Vatican II”
Ce témoignage est intéressant, notamment en qu’il montre ceci, bien que ce soit indirectement :
– de même que le compromis avec la mentalité libertaire soixante-huitarde, dans le monde contemporain, conduit, tôt ou tard, à une impasse (quelle est donc l’aptitude effective de ceux qui n’ont pas voulu contrer le soixante-huitardisme d’hier à contrer le soixante-huitardisme d’aujourd’hui, notamment le wokisme ?),
– de même, le compromis avec la mentalité conciliaire « soixante-deuxarde », dans l’Eglise catholique, conduit, lui aussi, à une impasse : quelle est donc l’aptitude effective de ceux qui n’ont pas voulu combattre le « soixante-deuxardisme » d’hier à combattre le « soixante-deuxardisme » d’aujourd’hui : le bergoglionisme ?
Ce témoignage est également intéressant en ce qu’il montre, par contraste, que la sainteté, telle qu’elle a été comprise, de Saint Augustin et Saint Jean Chrysostome au milieu du XX eme siècle, n’intéresse pas ou intéresse peu les clercs conciliaires « soixante-deuxarts » : ce qui les intéresse c’est une conception de la sainteté subordonnée à leur conception de « l’unité », de même que, d’après eux, l’annonce peut et doit être subordonnée au « dialogue », et que, selon eux, la Tradition peut et doit être subordonnée au « renouveau ».
Puissent les théologiens et les évêques ne pas avoir le « culot d’acier » de parler des « fruits du Concilee », à l’occasion du soixantième anniversaire de l’ouverture de Vatican II, au mois d’octobre 2022…
Ce témoignage est intéressant, notamment en qu’il montre ceci, bien que ce soit indirectement :
– de même que le compromis avec la mentalité libertaire soixante-huitarde, dans le monde contemporain, conduit, tôt ou tard, à une impasse (quelle est donc l’aptitude effective de ceux qui n’ont pas voulu contrer le soixante-huitardisme d’hier à contrer le soixante-huitardisme d’aujourd’hui, notamment le wokisme ?),
– de même, le compromis avec la mentalité conciliaire « soixante-deuxarde », dans l’Eglise catholique, conduit, lui aussi, à une impasse : quelle est donc l’aptitude effective de ceux qui n’ont pas voulu combattre le « soixante-deuxardisme » d’hier à combattre le « soixante-deuxardisme » d’aujourd’hui : le bergoglionisme ?
Ce témoignage est également intéressant en ce qu’il montre, par contraste, que la sainteté, telle qu’elle a été comprise, de Saint Augustin et Saint Jean Chrysostome au milieu du XX eme siècle, n’intéresse pas ou intéresse peu les clercs conciliaires « soixante-deuxarts » : ce qui les intéresse c’est une conception de la sainteté subordonnée à leur conception de « l’unité », de même que, d’après eux, l’annonce peut et doit être subordonnée au « dialogue », et que, selon eux, la Tradition peut et doit être subordonnée au « renouveau ».
Puissent les théologiens et les évêques ne pas avoir le « culot d’acier » de parler des « fruits du Concilee », à l’occasion du soixantième anniversaire de l’ouverture de Vatican II, au mois d’octobre 2022…