Le « Père Noël » ou l’antéchrist de la saison

Alors que le monde devient de plus en plus sombre à mesure qu’il s’éloigne davantage de la société catholique, la vraie signification de Noël décroît en conséquence parmi les peuples.

Ceci ne pouvait avoir atteint le degré que nous voyons aujourd’hui sans l’antéchrist connu sous le nom de « Père Noël ». Qu’est-ce que Noël pour le monde moderne païen ? Il ne s’agit que d’un « Père Noël » qui apporte des cadeaux. Que voyons-nous autour de nous ? Nous voyons des gens habillés en « Père Noël » dans son costume stupide, nous voyons dans les foyers et dans les rues tout un attirail décoratif rouge Coca-Cola.

Satan sait qu’il ne peut faire disparaître la célébration de Noël. Il sait également qu’aussi longtemps que Noël est célébré, le monde entier se souviendra profondément de Notre-Seigneur Jésus-Christ, oublié par la majorité. Chaque année, lorsque Noël approchait, tout le monde se rappelait, que cela leur plaise ou non, de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Que ce fût le grand pécheur éloigné de la pratique de la foi catholique, ou le juif tentant d’oublier le Christ pour ne pas avoir à croire en Lui, chacun d’entre eux se faisait rappeler de Jésus-Christ à chaque Noël… du moins jusqu’à la création du « Père Noël ».

Au lieu de tenter de faire disparaître complètement la fête, qu’il sait n’être qu’une vaine tentative, Satan a élaboré l’une de ses idées les plus diaboliquement ingénieuse jusqu’à présent : substituer Jésus par le « Père Noël ». Son plan a brillamment réussi ; au point où Noël, pour la plupart des pays, se réfère presque totalement au « Père Noël » ; Jésus est à peine mentionné, et le grand public ne pense pas que ça soit incongru. Le « Père Noël » a véritablement remplacé Jésus, en particulier dans la vie d’innombrables enfants.

Cette substitution antéchristique et américaine inflige de lourdes conséquences dans l’esprit des enfants. Dans le folklore moderne, le « Père Noël » est investi de pouvoirs surnaturels, il est capable de voler et distribuer des cadeaux aux enfants sages partout dans le monde, il connaît en conséquence votre conscience ; donc vous avez intérêt d’être bon. En d’autres termes, le « Père Noël » est non seulement celui qui vient à Noël au lieu du Christ, mais il est aussi « le dieu » aux pouvoirs multiples à qui vous devez rendre compte de votre conduite.

Un catholique devrait clairement voir que le « Père Noël » est un faux dieu, une idole, un faux Christ, un antéchrist inventé par Satan pour substituer Notre-Seigneur. Ceci étant le cas, le « Père Noël » est clairement l’une des choses les plus répréhensibles dans le monde moderne. Aucun catholique ne devrait enseigner cette idole à son enfant. Aucun catholique ne devrait promouvoir cette moquerie de Noël. Et aucun catholique (bien sûr) ne devrait disposer des gâteaux pour le « Père Noël » (une pratique aux États-Unis) ou avoir quoique ce soit affaire avec lui.

Mais sans aucun doute, hélas, beaucoup de catholicoïdes et d’innombrables hérétiques ont encore une fois substitués Jésus-Christ par le « Père Noël », pourtant il est bon de se souvenir que le 23 décembre 1951 à Dijon, le « Père Noël » était brûlé sur le parvis de la cathédrale Saint-Bénigne.

Pour de nombreux Dijonnais, la date du 23 décembre reste gravée dans les mémoires.

Il y a 70 ans jour pour jour, en 1951, le Père Noël était brûlé sur le parvis de la cathédrale à Dijon à cause de ses origines païennes.

Le vieil homme avait été suspendu, avec l’accord du clergé, devant la porte principale de la cathédrale Saint-Bénigne et c’est devant 250 enfants qu’il avait été embrasé.

Le texte paru à l’époque dans nos colonnes :

« A la sortie d’un grand jeu liturgique donné hier 23 décembre, sous les orgues, 250 enfants se sont groupés devant la porte principale de la cathédrale Saint-Bénigne. Désireux de lutter contre la fabulation trompeuse du Père Noël, ils ont admiré ce grand personnage fait de mains d’hommes, suspendu à la grille. Puis le Père Noël a été solennellement brûlé. »

Le Père Noël et le sapin se sont introduits dans les écoles publiques alors qu’ils sont la réminiscence de cérémonies païennes qui n’ont rien de chrétiennes tandis que, au nom d’une laïcité outrancière, la crèche est scrupuleusement bannie des mêmes écoles ».

Déclarait le porte-parole de l’épiscopat dans le quotidien France-Soir du 24 décembre

« Pour nous, chrétiens, la fête de Noël doit rester la fête anniversaire de la naissance du Sauveur ».

C’est par ces mots que le clergé dijonnais explique dans un communiqué, le 23 décembre 1951, avoir « brûlé le Père Noël » sur le parvis de la cathédrale Saint-Bénigne de Dijon.

« Le Père Noël a été sacrifié en holocauste. À la vérité, le mensonge ne peut éveiller le sentiment religieux chez l’enfant ».

souligne le clergé alors très conservateur de la capitale de Bourgogne, après avoir mis le feu à une effigie d’environ trois mètres de haut.

Que les catholiques authentiques ne s’y trompent plus !

En ce temps Saint temps de l’Avent prions bien le Divin Enfant pour qu’il règne fermement dans nos cœurs, et en chasse toutes les idoles !

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