Des films à regarder en famille pour NOËL !

Les Lettres de mon moulin est un film français, réalisé par Marcel Pagnol, sorti en 1954.
Le film est l’adaptation de trois des vingt-neuf Lettres de mon moulin, d’Alphonse Daudet, précédées d’un prologue.
Une quatrième lettre, Le Curé de Cucugnan, sera ultérieurement adaptée par Marcel Pagnol pour la télévision, en 1968, dans un téléfilm de moyen métrage également titré Le Curé de Cucugnan, le rôle d’Alphonse Daudet y étant repris par Roger Crouzet, qui l’interprète dans le « Prologue » du film de 1954.
Les trois Messes basses
Une nuit de Noël, poussé par le Diable qui a pris les traits de son enfant de chœur, Dom Balaguère escamote les trois messes basses, en vue d’un réveillon parfumé aux truffes…
Le curé de Cucugnan
Lors de son sermon, le curé de Cucugnan raconte le rêve extraordinaire qui l’a conduit du Paradis à l’Enfer, à la recherche de ses paroissiens…
Le troisième film de la trilogie : l’élixir du Père Gaucher est censuré actuellement par YouTube, nous ne pouvons vous le proposer.
Le capitaine Darreberg
Plusieurs films audios sur la vie des saints et autres sont désormais disponibles sur la chaîne : Livres audios catholiques.
La vie de Jésus de Nazareth
Un autre grand classique qui peut se regarder à Noël ou pendant toute l’année liturgique est le fabuleux film de Zeffirelli sur la vie de NSJC.

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Même si l’on n’a pas le droit de le dire, je le dis: j’adore, j’adore, j’adore le curé de Cucugnan qui s’exclame devant sa divine surprise: « Grand Saint Pierre! », qui image merveilleusement avec ses doigts potelés le gentil son de la flûte, qui dit, de façon pittoresque: « j’en entends un que ça fait rire! », qui remarque fort justement et avec autant de caractère: « vous avez remarqué qu’il me tutoyait hé. Oh, c’est diabolique: ça n’a ni éducation, ni rien; ça vous tutoierait même un évêque! »
Fernand Sardou est vraiment magnifique dans la figure de ce curé si dévoué à sa paroisse, à son ministère, à sa mission. Vu, revu et revu encore, on ne se lasse pas de ce personnage à la fois si touchant, si simple, si chaleureusement sévère. Il faut dire, aussi, qu’Alphonse Daudet avait une très belle plume, et que Marcel Pagnol s’y entendait en cinéma éternel. Quelle saine pièce de théâtre cela ferait, qui mettrait en valeur la beauté et la très généreuse éternité du sacerdoce.