La fausse église issue du concile Vatican II
Vidéo d’introduction / vulgarisation traitant de l’église se disant catholique issue du concile Vatican II et des faux papes qui se sont succédé depuis lors.
Nous abordons dans cette vidéo les thématiques suivantes :
– Le concile Vatican II en lui-même
– Les faux papes qui se sont succédé peu avant, durant et post-concile
– Des témoignages et marques de reconnaissances de la franc-maçonnerie envers la fausse Église se présentant catholique et ses chefs
– Les conséquences de cette imposture : l’apostasie générale
– L’infaillibilité pontificale
– L’idéologie de l’église conciliaire se présentant comme catholique et sa soumission au monde
– Les différences entre l’Église catholique et l’église conciliaire
– Comment rester ou devenir catholique dans la situation actuelle
Note : Nous évoquons dans cette vidéo certaines révélations privées pouvant éclairer sur la situation actuelle. Celles-ci sont évoquées non comme ayant une valeur démonstrative mais pour n’occulter aucun élément.
Bonjour,
Dans l’absolu, il n’y a même pas eu besoin d’infiltration maçonnique, ce qui ne veut bien sûr pas dire qu’il n’y en a pas eu du tout.
En effet, il a suffi que les conceptions proches de celles de Chenu, de Congar, de Maritain, de Mounier, de Rahner et de Teilhard aient de plus en plus d’influence, dans l’Eglise, à partir du début des années 1930, et encore plus à partir de 1945, pour que le passage du catholicisme, notamment controversiste (anti-libéral, anti-protestant, anti-moderniste) au néo-catholicisme, avant tout consensualiste (d’où Dignitatis humanae, Nostra aetate, Gaudium et spes, Unitatis redintegratio) s’effectue, au moment et au moyen du Concile Vatican II.
Formulé autrement, ce qui précède revient à dire que des traits de caractère intellectuels, plus philosophiques que théologiques : l’inclusivisme, l’intégralisme, l’oecuménisme, le personnalisme, ainsi qu’une certaine forme d’évolutionnisme bergsonisant et un certain type d’existentialisme socialisant, ont amplement contribué à ce que l’Eglise, à la faveur du Concile, arrête de résister et commence à « dialoguer », en l’occurrence avec une conception libérale de la liberté religieuse, une conception agnostique des religions non chrétiennes, une conception de l’homme et du monde de ce temps tout à fait propice à l’immanentisation et à la sécularisation du regard et du discours, et avec une conception de l’unité entre les confessions chrétiennes assez proche d’une conception protestante libérale.
C’est ce qui précède qu’il faut faire connaître et comprendre le plus possible, et je vous remercie dès à présent de bien vouloir commencer, ou continuer davantage, à le faire connaître à vos lecteurs, notamment en acceptant le présent commentaire.
Bonne journée.
Benoît Yzern