Le credo des hérésies de Joseph Ratzinger dit Benoit XVI

Joseph Ratzinger a commis un grand nombre d’actes hérétiques, et produit un grand nombre d’écrits truffés d’hérésies. Il s’est fait passer pour un conservateur, dans le but de rallier la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X à la secte moderniste. Or lorsque l’on constate ses faits commis lors de son « pseudo-pontificat », on ne peut que le déclarer comme étant un hérétique formel.

Il a, dans l’esprit du conciliabus de Vatican 2, prétendu que les fausses religions pouvaient mener au ciel. Il a conforté les juifs dans leurs erreurs en leur faisant croire que l’Ancienne Alliance pouvait amener à la justification. Il a prié dans une mosquée et tenu une rencontre de faux-oeucuménisme (Assises 3).

Ratzinger a nié des dogmes essentiels de la foi catholique, comme les notions de péché originel, la véracité des écrits contenus dans la Sainte Ecriture, le fait qu’il ne puisse exister de salut hors de la Sainte Eglise catholique. Il a nié que le souverain Pontife de l’église Catholique détienne une juridiction suprême et universelle sur toute l’église, ceci en pleine adéquation avec les croyances d’un grand nombre de schismatiques orthodoxes. Il a été jusqu’à nier la doctrine catholique contenue dans le Saint Concile de Trente, qui fut proclamée infailliblement par l’Eglise Catholique.

Ratzinger fut un expert ayant activement oeuvré au conciliabus de Vatican II. Il s’agit d’un hérétique d’une intelligence maléfique redoutable. Il fut un promoteur du nouvel ordre mondial judéo-maçonnique et antichrétien, et ses liens avec la franc-maçonnerie sont avérés.

Un hérétique ne pouvant être pape, Ratzinger n’a jamais été pape de l’église catholique.

Les Écritures triomphant sur l’Hérésie, dans l’église Gustaf Vasa (en) de Stockholm.

Résumé des actes hérétiques de Ratzinger :

– a nié le dogme « Hors de l’Eglise point de salut »

– a promu le faux œcuménisme (indifférentisme religieux) 

– a fait l’apologie de la liberté religieuse 

– a fait l’apologie de la séparation de l’Eglise et de l’Etat 

– a organisé des prières interreligieuses

– a fait l’apologie de la nouvelle ecclésiologie hérétique de Vatican II

– a affirmé que la papauté est un « obstacle à l’œcuménisme »

– a nié la doctrine de la primauté du Pontife Romain sur l’Eglise 

– fut suspecté d’hérésie sous Pie XII

– fut qualifié de « dangereux moderniste » par son Directeur de thèse

– a affirmé « que les juifs n’attendent pas le Messie en vain »

– a nié la nécessité du baptême des enfants pour aller au Ciel

– a nié la résurrection de la chair lors du Jugement dernier

– a prié avec des protestants méthodistes, des luthériens, des juifs, des schismatiques orientaux, des musulmans (prendre part à des cultes non-catholiques est condamné par l’Eglise par le Canon n°1258)

– a donné publiquement la communion au pasteur luthérien Roger Schütz (fondateur de Taizé) et a dit après sa mort qu’il avait atteint « la joie éternelle »

– fut accusé par des évêques français en 1963 d’être « un hérétique niant l’enfer »

– s’est prononcé en faveur de la communion pour les divorcés et les remariés

– a attaqué la scolastique de Saint Thomas d’Aquin

– a fait l’apologie de la théologie de Luther

– a nommé des modernistes à la tête de la Congrégation pour la doctrine de la foi

– a contribué à dégrader la dignité du Siège Pontifical en innovant par la pratique de la résignation

– a affirmé son admiration pour l’évolutionniste Teilhard de Chardin

– a écrit pour la revue maçonnique « Renaissance Traditionnelle » en 1979 sur les problèmes théologiques de la musique religieuse

– a nommé un physicien brésilien franc-maçon à l’Académie Pontificale des Sciences du Vatican

– a fait retirer la mention explicite de la conversion des juifs dans la prière du Vendredi Saint du « rite extraordinaire »

– a encouragé le grand rabbin de Rome dans sa « mission », c’est-à-dire dans son apostolat à rejeter le Christ

– a affirmé que le Christ « n’a pas aboli l’Ancienne Alliance » car la Bible propose une double lecture

– a appelé à l’édification d’un « Nouvel Ordre Mondial » et à une « autorité politique mondiale reconnue de tous »

– a appelé à un humanisme renouvelé et à un renouveau spirituel en vue de ce gouvernement mondial

– a remis en cause la doctrine de la virginité perpétuelle de Marie

– a intégré les Anglicans au sein de l’Eglise conciliaire, par la constitution Anglicanorum Coetibus (2009), alors que leurs rites avaient été jugés hérétiques par Saint Pie V dans Regnans in Excelsis (1570)

– a fait l’éloge du « Chemin néo catéchuménal », un mouvement d’inspiration luthérienne qui nie le caractère sacrificiel de la messe, nie la doctrine de transsubstantiation et croit en la théorie de la justification de Luther

– a affirmé que » le dialogue interreligieux n’a pas pour but la conversion mais la compréhension mutuelle »

– a nié la doctrine traditionnelle de l’Eglise catholique selon laquelle nous héritions le péché originel par génération

– a nié la doctrine de la transsubstantiation

– a déclaré que «Gaudium et Spes était une révision du Syllabus de Pie IX, une sorte de « Contre-Syllabus » et que Vatican II représentait une tentative de « réconciliation officielle avec la nouvelle ère inaugurée en 1789 »

– a donné la communion à des protestants (interdit par l’Eglise, Canon 731.2 du code droit canonique de 1917)

– a nié que la Vierge soit apparue physiquement lors des apparitions de Fatima et Lourdes et que c’était une simple « vision intérieure »

– a jugé de « fanatiques et de têtes brûlées »  les missionnaires qui avaient détruit les temples païens (Saint François Xavier ou Saint Benoît seraient certainement ravis d’entendre cela)

Source : http://scaturrex.eu/2017/01/12/antipape-benoit-xvi/

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5 thoughts on “Le credo des hérésies de Joseph Ratzinger dit Benoit XVI

  1. Benoit XVI a voulu, de ses années de formation à l’année de sa démission, être à la fois catholique et moderniste, ou porter en lui un dispositif de conciliation entre le catholicisme et le modernisme, et c’est cette contradiction fondamentale qui, entre autres choses bien sûr, a fini par le faire exploser en plein vol, l’annonce fin 2010 de la journée qui a eu lieu à Assise en 2011 ayant permis de pressentir cette explosion.

    En particulier, c’est quelqu’un qui s’est imaginé
    – qu’un mode de raisonnement doctrinal herméneutiste lui permettrait de dépasser vers le haut la contradiction entre le mode de raisonnement métaphysique, notamment thomiste, et le mode de raisonnement historiciste, notamment hégélien,
    – qu’un mode de raisonnement pastoral inclusiviste lui permettrait de surmonter par le haut la contradiction entre l’exclusivisme et le relativisme, dans le cadre du dialogue interreligieux et face aux diverses religions non chrétiennes.

    Un mode de raisonnement herméneutiste est un mode de raisonnement d’après lequel beaucoup de choses, dans le domaine de la connaissance et de la compréhension de la volonté de Dieu et de la vocation de l’homme, sont compatibles ou conciliables avant tout avec une interprétation adogmatique, contextuelle sinon relative et personnelle sinon subjective, et sont susceptibles d’être amputées ou déformées si jamais ces choses donnent lieu, pour ainsi dire “malheureusement”, à une explicitation et à une objectivation au moyen de définitions.

    Et un mode de raisonnement inclusiviste est tout à fait comparable, toutes proportions gardées, à un mode de raisonnement oecuméniste, appliqué au dialogue de l’Eglise avec les religions non chrétiennes, selon lequel la religion chrétienne n’est pas la seule religion, ni l’une des religions en général, mais est la meilleure des religions en particulier,… car la plus respectueuse de la dignité et de la liberté de l’homme.

    L’adhésion de Joseph Ratzinger / Benoît XVI à ces modes de raisonnement l’a souvent conduit aux confins de bien des hérésies, à caractère à la fois adogmatique ad intra et consensualiste ad extra, ces hérésies ne s’étant pas traduites, le plus souvent, par une contestation ou par une réfutation formelle de telle ou telle définition dogmatique caractéristique de la foi catholique, mais s’étant plutôt traduites par la formulation et la propagation de conceptions et de convictions DUBITANTES, particulièrement propices à la mise en doute de la conception scolastique puis tridentine de la foi catholique, telle qu’elle a été comprise, globalement, du milieu du XIIIème siècle à celui du XXème siècle.

    Ce positionnement catholique et moderniste n’a pas empêché Benoît XVI d’essayer de contribuer à une consolidation de la foi catholique, d’où le Catéchisme de l’Eglise catholique, Dominus Iesus, le Compendium du Catéchisme, Verbum domini, mais le même positionnement l’a empêché de le faire d’une manière ouvertement, publiquement, radicalement et substantiellement restauratrice de la foi catholique.

    Mais que peut-on attendre de clairement et de fermement restaurateur d’un pape qui, en février 2013, a eu le “culot d’acier” de chercher à faire croire que c’est à cause du Concile des médias que le Concile des Pères a mal tourné, alors que c’est complètement faux, la décision de certains experts et de certains Pères du Concile, décision porteuse du rejet de pans entiers du catholicisme, au moyen du Concile Vatican II, ayant été prise dès le milieu de l’année 1962, avec l’accord de cardinaux tels que Montini et Suenens, etc. ?

    1. L’historicisme, doctrine philosophique enseignant qu’on doit comprendre le passé dans son cadre moral, intellectuel et matériel, ne va dans aucune direction. Sa pente vers le relatisme lui vaut les critiques des libéraux (Popper, parmi d’autres), qui, eux, veulent aller dans une direction précise.

  2. Votre conclusion me paraît juste sur le fait que Vatican II fut mauvais en soi, encore que, comme vous l’aviez reconnu ailleurs, le problème est bien antérieur à ce concile.

    Par contre je trouve assez arbitraire la description du modernisme comme, en fait, spécifiquement hégélien, alors qu’il me paraît au contraire très composite, et plutôt incompatible avec ce qu’enseignait Hegel, en général (qui certes n’était pas catholique non plus).

    Par ailleurs j’aimerais bien une précision sur ce que serait la philosophie hégélienne quant à la religion ? Je crois savoir qu’elle serait largement susceptible d’interprétation (voir : Que prouvent, chez Hegel, les preuves de l’existence de Dieu ?, de Gilles Marmasse, dans Les Études philosophiques, 2010/1, n° 92, pages 109 à 129 ; consultable sur internet).

    Par ailleus, si la définition du mot historicisme est bien (et c’est la seule que je connaisse) doctrine enseignant que l’histoire permet d’expliquer tout le comportement humain, il me semble qu’il est aussi neutre aux questions religieuses que la thermodynamique ou la botanique : il ne concerne pas la foi. Est-ce que je me trompe ?

  3. L’un des éléments caractéristiques de Vatican II est dans le rapport de l’Église aux autres religions.

    Maritain (protestant baptisé sous l’influence de son parrain Léon Bloy) et Massignon en furent des acteurs, ainsi que le théologien anti-moderniste Réginald Garrigou-Lagrange (car les choses sont moins simples qu’on le croit), et, trente ans avant Jean XXIII, leurs premières démarches furent déjà près de réussir.

    On peut lire sur internet un article de Carol Iancu sur Jules Isaac qui traite, en passant, de la poursuite après guerre d’efforts de cette sorte.

    On peut lire aussi l’article de wikipedia sur l’Opus sacerdotale Amici Israel, expliquant comment cette œuvre fondée en 1926 parvint en 1928 (sous Pie XI) à obtenir le feu vert du Saint-Office, pour n’être désavouée que par la Curie, précisément par Merry del Val qui pourtant était membre de cette œuvre, laquelle fut dissoute peu après (en conséquence de cette tentative, suggèrent des documents evoqués par wikipedia).

    1. J’ai rédigé le commentaire ci-dessus hâtivement, en remplacement d’un autre, plus long et plus précis, mais qui avait été rejeté. En relisant, outre des défauts de pure forme, je remarque avoir interverti les rôles de la Curie (qui favorisa cette mesure) et du Saint-Office (qui s’y opposa victorieusement).

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