Le miracle d’Hiroshima du 6 août 1945

Le crime de guerre commis par les Américains en août 1945, à Hiroshima et Nagasaki, ne souffre pas l’ombre d’un doute. Ce qui est plus méconnu, c’est la motivation profonde dans le choix de ces deux villes. La particularité du sud du Japon est d’avoir été la principale région évangélisée par les missionnaires jésuites au XVI° siècle.

Nagasaki est ainsi considérée comme la capitale du catholicisme dans l’archipel, et Hiroshima est également une cité comptant nombre de chrétiens.

Le président Truman, franc-maçon protestant, après avoir refusé de bombardé Kyoto, s’est reporté sur les deux villes martyrs de la Seconde Guerre Mondiale pour commettre l’un des plus grands massacres chrétiens de l’Histoire.

Le bilan est difficile à établir précisément, mais les experts l’estiment compris entre 100 000 et 200 000 morts directement dus à l’explosion; auxquels il faut ajouter les victimes des radiations nucléaires.

A noter les deux miracles ayant eu lieu durant ce drame. A Hiroshima, un couvent jésuite situé à quelques centaines de mètres du point zéro a vu ses occupants survivre à l’explosion (et même aux radiations mortelles) de façon scientifiquement inexplicable; tandis qu’à Nagasaki, c’est une communauté franciscaine qui a échappé par la grâce de Dieu à une mort instantanée par le feu nucléaire.

Miracle, lors de l’explosion, un groupe de huit jésuites missionnaires allemands, fervents adeptes de la prière du Rosaire, furent ainsi épargnés de toute contamination radioactive et de toute destruction alors que leur maison était à 100 mètres du centre de l’explosion (ground zero).

La maison typiquement japonaise dans laquelle ils se trouvaient, fut elle aussi épargnée.

Les Jésuites expliquent, à juste titre, avoir reçu une sorte de « bouclier de protection » de la Sainte Vierge contre les rayonnements et leurs effets sur le court et long terme.

Le même cas se produira à Nagasaki le 9 août 1945, avec le couvent franciscain de Saint Maximilien Kolbe, où les frères priaient là aussi quotidiennement le Rosaire.

Ce qui correspond exactement aux paroles de la Vierge Marie à Saint Dominique et Alain de la Roche : « Celui qui se confie en moi par le Rosaire, ne périra pas », ou encore « Ceux qui propageront mon Rosaire seront secourus par moi dans toutes leurs nécessités. »

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