L’écriture primitive chinoise porte les traces du christianisme primitif
Dans Sa bonté, Dieu n’a pas laissé les hommes, même loin de l’Évangile, sans secours. La raison naturelle en dépôt aux sources de son âme, l’inspiration pour le prémunir de mauvaises inclinations, un ange gardien à sa droite pour le garder de terribles dangers, la Création sortie des mains de Dieu dont le sceau apposé en confirme la discrète mais universelle présence.
Si il n’y avait que ça !
Dans Sa bonté encore, Dieu a dès la première famille humaine, permis à ce que ses enfants ne soient pas totalement emmêlés dans les filets du péché originel, puis du péché actuel, et leur a fait parvenir par la bouche d’Adam les nombreux enseignements que Père de l’humanité n’avait su tous conserver.
Ce divin message ayant été oublié avec les générations, Dieu condensa en Noé et ses enfants quelques bases nécessaires à la réception du Messie tant attendu : le « christianisme primitif ». Dont on retrouve les traces dans les civilisations filles de Noé.
Adélaïde, jeune étudiante, en révèle les traces dans la langue chinoise dans un entretien de Radio Courtoisie datant de 2016 :
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En lisant cet article, je me disais que qu’il me faisait le même effat que ce que saint Augustin dénonçait comme étranger à la foi, et ajoutée par elle à des gens ne s’appuyant pas sur l’Église (De Gen. ad litt.) ; je me disais que cela ressemblait à du protestantisme dans sa forme la moins catholique, à de l’évangélisme surtout.
Il m’a fallu deux minutes pour trouver la source d’une telle inspiration.
https://answersingenesis.org/genesis/chinese-characters-and-genesis/
Comme cette communion d’esprit devient une habitude, peut-être les sites catholiques s’abonneront-ils à ces sources nouvelles d’enrichissement de la théologie catholique ?
… ce que saint Augustin dénonçait comme étranger à la foi et ajouté à elle par des gens étrangers à l’Église …