Les imposteurs : Jose Bergoglio (2013-)

Jose Bergoglio (2013-)

François allumant une menorah

François, Homélie (21 septembre 2014)
« En repensant à ces décennies d’atroces souffrances et de très dures persécutions contre les catholiques, les orthodoxes et les musulmans, nous pouvons dire que l’Albanie a été une terre de martyrs : beaucoup d’évêques, de prêtres, de religieux, de fidèles laïcs, de ministres du culte d’autres religions, ont payé de leur vie leur fidélité. »

François, Discours (6 juin 2015)
« […] musulmans, juifs, orthodoxes, catholiques et autres religions. Nous sommes tous frères ! Nous adorons tous un Dieu Unique ! Jamais, jamais de séparation entre nous ! Fraternité et union. »

François, Sur la terre comme au Ciel (Page 101)
« À une époque, le suicidé n’avait pas droit aux obsèques parce qu’il avait cessé de cheminer vers sa destination, il avait renoncé de son propre chef. Mais j’ai du respect pour celui qui se suicide, c’est un individu qui n’a pas su surmonter ses contradictions. Je ne le rejette pas. »

François, Journée mondiale des migrants (19 janvier 2014)
« Partager notre expérience en portant la croix pour arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies : il est important que vous fassiez cela lors de vos réunions. Ceux qui sont chrétiens, avec la Bible ; ceux qui sont musulmans, avec le Coran. La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer. »

François, Audience générale (26 novembre 2014)
« Il est beau de penser cela, de penser au Ciel. On se retrouvera tous là-haut, tous. C’est beau, ça donne de la force à l’âme. »

François, Discours (8 novembre 2014)
« Nous, Musulmans et Chrétiens, nous sommes dépositaires d’inestimables trésors spirituels, parmi lesquels nous reconnaissons des éléments qui nous sont communs, même vécus selon nos propres traditions : l’adoration du Dieu miséricordieux, la référence au patriarche Abraham, la prière, l’aumône, le jeûne… »

François, Discours (23 octobre 2014)
« Tous les chrétiens et les hommes de bonne volonté sont donc appelés aujourd’hui à lutter non seulement pour l’abolition de la peine de mort, légale ou illégale, et sous toutes ses formes, mais aussi afin d’améliorer les conditions carcérales, dans le respect de la dignité humaine des personnes privées de la liberté. »

François manipulant un symbole communiste avec le sourire

François, Entretien avec le directeur de la Civiltà Cattolica (août 2013)
« Le Concile Vatican II, inspiré par le Pape Jean et par Paul VI, a décidé de regarder l’avenir dans un esprit moderne et de s’ouvrir à la culture moderne. Les pères conciliaires savaient que cette ouverture à la culture moderne était synonyme d’œcuménisme religieux et de dialogue avec les non-croyants. Après eux, on fit bien peu dans cette direction. J’ai l’humilité et l’ambition de vouloir le faire. »

François, Entretien avec Eugenio Scalfari (24 septembre 2013)
« Tout être humain possède sa propre vision du Bien, mais aussi du Mal. Notre tâche est de l’inciter à suivre la voie tracée par ce qu’il estime être le Bien. […] Et je suis prêt à le répéter : chacun à sa propre conception du Bien et du Mal et chacun doit choisir et suivre le Bien et combattre le Mal selon l’idée qu’il s’en fait. Il suffirait de cela pour vivre dans un monde meilleur. »

François, Evangelii Gaudium (Exhortation apostolique)
« Il est indispensable de prêter attention aux nouvelles formes de pauvreté et de fragilité dans lesquelles nous sommes appelés à reconnaître le Christ souffrant, même si, en apparence, cela ne nous apporte pas des avantages tangibles et immédiats : les sans-abris, les toxico-dépendants, les réfugiés, les populations indigènes, les personnes âgées toujours plus seules et abandonnées, etc. Les migrants me posent un défi particulier parce que je suis Pasteur d’une Église sans frontières qui se sent mère de tous. Par conséquent, j’exhorte les pays à une généreuse ouverture, qui, au lieu de craindre la destruction de l’identité locale, soit capable de créer de nouvelles synthèses culturelles. »

François, Entretien avec Joaquín Morales Solá (5 octobre 2014)
« Le monde a changé et l’Église ne peut pas s’enfermer dans des interprétations présumées du dogme. »

François, Audience générale (29 mai 2013)
« Certains disent que le péché est une offense à Dieu. »

François, Evangelii Gaudium (Exhortation apostolique)
« Un regard très spécial s’adresse au peuple juif, dont l’Alliance avec Dieu n’a jamais été révoquée. »

Bergoglio clownant la fonction papale

François, Entretien avec le directeur de la Civiltà Cattolica (Août 2013)
« Il est nécessaire d’agrandir les espaces pour une présence féminine plus incisive dans l’Église […] Les femmes soulèvent des questions que l’on doit affronter […] Il faut travailler davantage pour élaborer une théologie approfondie du féminin. C’est seulement lorsqu’on aura accompli ce passage qu’il sera possible de mieux réfléchir sur le fonctionnement interne de l’Église. Le génie féminin est nécessaire là où se prennent les décisions importantes. Aujourd’hui le défi est celui-ci : réfléchir sur la place précise des femmes, aussi là où s’exerce l’autorité dans les différents domaines de l’Église. »

François, Interview avec le journaliste Pablo Calvo (7 juillet 2014)
« Le dimanche, c’est pour la famille. »

François, Suite à son audience avec le président de l’Uruguay José Mujica -ancien terroriste, athée, communiste, laïciste, avortiste et homosexualiste- (du 1er juin 2013)
« Je suis très heureux d’avoir rencontré un homme sage. »

Giovanni Maria Vian, Pape François, paroles en liberté
« Je crois en Dieu. Pas dans un Dieu catholique car il n’existe pas de Dieu catholique. »

François, Déclaration d’Abou Dhabi (4 août 2019)
« La liberté est un droit de chaque personne : chacun jouit de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action. Le pluralisme et la diversité des religions, des couleurs, du sexe, de la race et de la langue sont une sage volonté divine. »

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One thought on “Les imposteurs : Jose Bergoglio (2013-)

  1. Le pape François n’est pas un imposteur : un imposteur serait, par exemple, un pape qui essaierait d’imiter Pie XII, sur la forme, tout en réussissant à ressembler à Paul VI, sur le fond.

    Le pape François n’est pas un imposteur, mais est « une synthèse », en ce sens qu’il coche toutes les cases de la conformation, de sa conformation, à l’interconfessionnellement correct, à l’interreligieusement correct et même à l’interconvictionnellement correct, parfois avec une absence de retenue qui est vraiment précieuse, pour tout observateur, dans la mesure où elle permet de comprendre, avec quelques années d’avance, jusqu’où devrait pouvoir aller le néo-catholicisme post-conciliaire, désormais non seulement inclusif, mais aussi synodal. En ce sens et sous cet angle, ce pape et ce pontificat sont très éclairants.

    Il y a une autre manière de rendre hommage à ce pape, qui est pour ainsi dire le pape du parachèvement de tout un dispositif doctrinal et pastoral ad extra, caractéristique du néo-catholicisme : avec Paul VI nous avons eu le lancement de la conciliation avec de l’humanisme libéral, avec Jean-Paul II nous avons eu la poursuite de cette conciliation et le lancement de la conciliation avec du panchristisme postmoderne, dans le cadre du dialogue interreligieux, et avec François nous avons la poursuite de ces deux conciliations et le lancement de la conciliation avec le mondialisme progressiste, dans le cadre du dialogue interconvictionnel, d’où l’absence ou le déficit de critique chrétienne, à caractère catholique, de l’écolo-gauchisme, de l’homosexualisme et de l’immigrationnisme, de la part de François.

    Il n’y a pas la moindre ironie dans ce qui précède, ce pontificat étant vraiment informatif et intéressant, pour qui veut se donner la peine de l’étudier, sur la volonté farouche de François et de ses complices de faire en sorte que le parachèvement du dispositif évoqué ci-dessus soit complet, définitif, et surtout irréversible, donc, d’un point de vue catholique un tant soit peu orthodoxe et réaliste, irrémédiable.

    Aussi, remercions ce pape car, grâce à lui, depuis mars 2013, presque plus aucun catholique informé ne peut dire qu’il ne sait pas ce que cela donne, quand on élit pape un cardinal qui porte en lui le style et les thèmes qui sont chers, en l’occurrence, à Jorge Mario Bergoglio.

    Ainsi, de même que le concile Vatican II a été extrêmement révélateur sur ce que certains docteurs et certains pasteurs catholiques avaient à l’esprit, parfois depuis les années 1930, de même ce pontificat est absolument révélateur sur ce que certains théologiens et certains évêques ont en tête, parfois depuis les années 1970, si l’on considère les décennies d’éclosion de la « philosophie de la libération » et de la « théologie du peuple »…

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