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One thought on “2 Heures d’Hérésies Bergogliennes”
François ne recourt peut-être pas à l’hérésie au sens propre du terme, sauf s’il recourt à des expressions qui amputent, contestent, critiquent ou déforment le contenu de telle ou telle définition dogmatique explicite et officielle inhérente à la foi catholique, mais recourt sûrement
– à une certaine forme d’apostasie philosophico-théologique anti-thomiste / philo-moderne caractéristique de l’Eglise et des papes du Concile et de l’après-Concile,
– à un certain type de démagogie doctrinalo-pastorale, au bénéfice, notamment, de l’écolo-gauchisme, de l’égalitarisme et de l’évolutionnisme interreligieux, de l’homosexualisme et de l’immigrationnisme.
On pourrait aussi bien parler des aberrations, des absurdités, des extrapolations et des extravagances de François, à qui, en un sens, nous devons beaucoup, dans la mesure où grâce à lui nous avons de plus en plus connaissance
– de ce que certains clercs veulent vraiment faire défaire, faire dire, faire faire et faire taire, pour pouvoir continuer à détruire l’Eglise, la foi catholique, la morale chrétienne, la liturgie et les sacrements,
– de la lâcheté d’autres clercs, qui ont sûrement très bien compris le processus qui est en cours, et qui l’acceptent sans y adhérer avec un enthousiasme démesuré, mais qui ne veulent pas commencer puis continuer à résister à François et à ses complices, en dénonçant leurs conceptions gravement erronées.
Il est vrai que cela obligerait ces clercs timorés, de proche en proche, à remettre en cause la stratégie qui est à l’oeuvre depuis Jean XXIII, et à remettre également en cause la conception dominante de la « communion » ou de « l’unité » entre les évêques, conception qui sévit depuis le Concile Vatican II.
François ne recourt peut-être pas à l’hérésie au sens propre du terme, sauf s’il recourt à des expressions qui amputent, contestent, critiquent ou déforment le contenu de telle ou telle définition dogmatique explicite et officielle inhérente à la foi catholique, mais recourt sûrement
– à une certaine forme d’apostasie philosophico-théologique anti-thomiste / philo-moderne caractéristique de l’Eglise et des papes du Concile et de l’après-Concile,
– à un certain type de démagogie doctrinalo-pastorale, au bénéfice, notamment, de l’écolo-gauchisme, de l’égalitarisme et de l’évolutionnisme interreligieux, de l’homosexualisme et de l’immigrationnisme.
On pourrait aussi bien parler des aberrations, des absurdités, des extrapolations et des extravagances de François, à qui, en un sens, nous devons beaucoup, dans la mesure où grâce à lui nous avons de plus en plus connaissance
– de ce que certains clercs veulent vraiment faire défaire, faire dire, faire faire et faire taire, pour pouvoir continuer à détruire l’Eglise, la foi catholique, la morale chrétienne, la liturgie et les sacrements,
– de la lâcheté d’autres clercs, qui ont sûrement très bien compris le processus qui est en cours, et qui l’acceptent sans y adhérer avec un enthousiasme démesuré, mais qui ne veulent pas commencer puis continuer à résister à François et à ses complices, en dénonçant leurs conceptions gravement erronées.
Il est vrai que cela obligerait ces clercs timorés, de proche en proche, à remettre en cause la stratégie qui est à l’oeuvre depuis Jean XXIII, et à remettre également en cause la conception dominante de la « communion » ou de « l’unité » entre les évêques, conception qui sévit depuis le Concile Vatican II.