Le fléau du subjectivisme – Par L. Von Schwartz

« Chacun SA vérité »; « Il n’y a pas de vérité, il n’y a que des points de vue » ; « Si c’est vrai pour moi c’est tout ce qui compte » ; « Mon ressenti c’est que cela s’est passé ainsi et pas autrement » ; « On ne nait pas homme/femme, on le devient » ; « Moi je m’identifie comme (ajoutez le terme approprié) »…

Le sujet serait donc censé en quelque sorte façonner « sa » réalité. Cela se nomme subjectivisme. Et ce subjectivisme a fait des ravages dans nos sociétés post-révolutionnaires.

Il est l’antithèse de la philosophie catholique, réaliste à la suite de saint Thomas d’Aquin.

Pour autant, il serait erroné de penser que le subjectivisme se serait développé et imposé du jour au lendemain.

Comment en est-on arrivé là ?

La philosophie dite « moderne » en a historiquement jeté progressivement les fondements et permis sa diffusion comme son imprégnation dans les esprits. Tout a véritablement commencé avec Descartes et l’idéalisme cartésien, suivi par ses héritiers : Kant, Leibniz, Schopenhauer, Berkeley…

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