Ce site a pour ambition de défendre le magistère et la Foi Catholique dans son intégralité et sans concession, dans un esprit de foi et de charité.
Notre devise : Pour sauver la France éternelle conservons la Foi de nos pères.
De même que la diabolisation du Concile dans son ensemble nuit quelque peu à l’analyse, à la compréhension et aux explications sur ses éléments, et fait aussi le bonheur des conciliaires, en ce que ceux-ci ont alors beau jeu de dire que les sedevacantistes et les traditionalistes sont des rigides et des sectaires qui pensent et vivent dans un aveuglement et une ignorance dignes d’extrémistes sinon de fanatiques…
…de même, l’appréciation accusatrice et disqualifiante d’après laquelle les papes du Concile et de l’apres-Concile sont des apostats, des hérétiques ou des imposteurs est potentiellement contre-productive, d’autant plus que, en réalité, ces papes sont plutôt, assez souvent, des consensualistes et des illusionnistes, ou des irenistes et des utopistes, ce qui n’est pas la même chose.
En fait, la « divinisation » ou la « dogmatisation » du Concile, au moment puis en aval de son déroulement, est non seulement effrayante, mais aussi inquiétante et surtout occultante, dans la mesure où elle est propice au conformisme intellectuel et à l’ignorance volontaire, mais aussi à la dissimulation voire à la falsification de ce qui est réellement spécifique à ce Concile, que ce soit au sein d’une partie de ses enseignements ou au coeur d’une partie de son déroulement.
C’est la raison pour laquelle il convient, aujourd’hui encore, de faire lire, notamment, Le Rhin se jette dans le Tibre, de Ralph Wiltgen, mais aussi Vatican II, une histoire à écrire, de Roberto de Mattei.
Si effroi il doit y avoir, qu’au moins ce soit un effroi éclairé et objectif, en bonne connaissance du Concile…
De même que la diabolisation du Concile dans son ensemble nuit quelque peu à l’analyse, à la compréhension et aux explications sur ses éléments, et fait aussi le bonheur des conciliaires, en ce que ceux-ci ont alors beau jeu de dire que les sedevacantistes et les traditionalistes sont des rigides et des sectaires qui pensent et vivent dans un aveuglement et une ignorance dignes d’extrémistes sinon de fanatiques…
…de même, l’appréciation accusatrice et disqualifiante d’après laquelle les papes du Concile et de l’apres-Concile sont des apostats, des hérétiques ou des imposteurs est potentiellement contre-productive, d’autant plus que, en réalité, ces papes sont plutôt, assez souvent, des consensualistes et des illusionnistes, ou des irenistes et des utopistes, ce qui n’est pas la même chose.
En fait, la « divinisation » ou la « dogmatisation » du Concile, au moment puis en aval de son déroulement, est non seulement effrayante, mais aussi inquiétante et surtout occultante, dans la mesure où elle est propice au conformisme intellectuel et à l’ignorance volontaire, mais aussi à la dissimulation voire à la falsification de ce qui est réellement spécifique à ce Concile, que ce soit au sein d’une partie de ses enseignements ou au coeur d’une partie de son déroulement.
C’est la raison pour laquelle il convient, aujourd’hui encore, de faire lire, notamment, Le Rhin se jette dans le Tibre, de Ralph Wiltgen, mais aussi Vatican II, une histoire à écrire, de Roberto de Mattei.
Si effroi il doit y avoir, qu’au moins ce soit un effroi éclairé et objectif, en bonne connaissance du Concile…