LES ORIGINES ET LES FINALITÉS SURNATURELLES DE LA MONARCHIE FRANÇAISE


LES ASSISES SURNATURELLES DU TRÔNE DE FRANCE


Nous allons voir que le Trône de France est assis sur ce qui est FERME, c’est-à-dire sur le FIRMAMENT. Le Firmament est ainsi appelé parce qu’il est FERME, autrement dit éternel. Il nous faudra mettre en évidence la suite des ACTIONS DIVINES qui s’exercent en faveur de cette monarchie :


– depuis l’implantation de l’ARBRE ROYAL en France à l’époque de MEROVEE,


– jusqu’à la DÉCOLLATION de Louis XVI le 21 Janvier 1793 (on peut bien parler de DÉCOLLATION, comme pour saint Jean-Baptiste, puisque Louis XVI est, de l’aveu unanime, mort martyr de la Foi).


C’est Dieu qui a véritablement PROCÉDÉ à la fondation de cette monarchie. Et Sa protection, Son PATRONAGE, Il ne l’a pas accordé seulement pendant la période des ORIGINES, Il l’a RENOUVELÉ (confirmé) de siècle en siècle.


On peut dire, sans crainte de se tromper, que L’INSTITUTION MONARCHIQUE en France, est l’œuvre de Dieu. Je vais essayer de vous en administrer la preuve. Au cours de cette démonstration, nous aurons en vue des actions d’ordre surnaturel.

Ne soyez donc pas surpris par la nature des jalons historiques que nous allons retenir pour nous guider dans notre cheminement, dans notre raisonnement.


Nous retiendrons seulement des événements d’ordre surnaturel. Car tel est précisément le sujet de notre exposé. Des événements surnaturels que l’histoire profane ne relate pas ou très accessoirement et auxquels, pour notre part, nous attribuerons une importance majeure, déterminante.

Nous allons donc nous comporter comme quelqu’un qui, voulant retracer l’histoire d’un individu chrétien, se contenterait de son HISTOIRE SACRAMENTELLE :


– son Baptême
– sa Confirmation
– ses Chutes
– ses comparutions au tribunal de la pénitence
– ses pèlerinages
… etc


et qui négligerait, par conséquent, son histoire physiologique et professionnelle.
Mais vous verrez qu’en fin de compte, l’histoire des ORIGINES de la Monarchie Française, que nous allons retracer en suivant ces JALONS SURNATURELS se révélera aussi RÉALISTE (et même plus réaliste) que si nous nous contentions de son histoire, mettons, biologique et profane.


Nous voilà donc amenés à ÉNUMÉRER un certain nombre d’INTERVENTIONS DIVINES historiquement prouvées.


Voici les PRINCIPAUX ÉPISODES où cette action divine a été consignée par l’Histoire.


– Les Champs Catalauniques – Tolbiac – Le Sacre de Reims – La Prophétie de Saint Remy – La Bataille de Vouillé – L’attribution de l’emblème des fleurs de LYS – La Devise de l’Écu de France.

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Catholiques de France

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3 thoughts on “LES ORIGINES ET LES FINALITÉS SURNATURELLES DE LA MONARCHIE FRANÇAISE

  1. en réalité, les rois de france ne sont + chrétiens depuis la renaissance (ki est la période ou les élites ont commensé a se détaché du christiannisme en renouant avc l’antiquité).

    ensuite, la royauté de france est devenue franc-maçonne dc sataniste a partir de Louis XIV, versailles en témoigne.

    dc louis XVI nétait pas 1 martyr de la foi chrétienne.

    1. Il est amusant de lire, sous la plume d’un luciférien avoué, une analyse qui est exactement celle de la branche obscurantiste de l’Église chrétienne (qui existe bien, hélas, quoiqu’elle soit minoritaire).

      On trouvera ici un développement de ce thème, par le même commentateur :
      https://catholiquedefrance.fr/comprendre-
      la-difference-entre-satanisme-et-luciferisme/#comment-2727

      Notre luciférien, assurément bien satisfait de lui-même, nous expliquait qu’étaient sots ou idiots ceux qui croyaient en des principes ne laissant oas une entière liberté individuelle. Mais si chacun est libre de décider ce qu’est le bien et ce qu’est le mal, alors aucun principe ne tient devant cette liberté, et nous voici au nihilisme, à l’anomie, à la loi de la jungle. À la mort.

      Quiconquei transgresse les principes qu’il professe ne saurait impliquer sa foi, mais seulement sa personne : ainsi en est-il du prêtre pédophile, exemple cher aux gobeurs de stéréotypes maçonniques (et d’ailleurs repris par notre luciférien, qui n’évoque point les enseignants, moniteurs, les libertaires ni les francs-maçons, etc). Mais le luciférien qui commet ce crime, que transgresse-t-il ? Assurément rien qu’il professe, car pour un violeur d’enfants le viol d’enfants paraît un bien, donc la liberté individuelle lui commande d’agir s’il le peut. Il accomplit sa foi dans son crime, et révèle ainsi la nature de cette foi.

      L’écho du violeur d’enfants François Donatien de Sade (franc-maçon, donc membre d’une secte luciférienne) s’entend dans l’argumentaire de ce luciférien (« Français, encore un effort pour devenir républicains » : seule la plume change, les justifications restent). Les mêmes thèmes y reviennent.

      La révolution a causé le massacre de centaines de milliers de personnes en France (120 000 en Vendée, davantage en Bretagne, etc), ou de dizaines de millions en Russie lors de la période communiste, œuvres maçonniques (donc lucifériennes), nées de tels principes. Et que dire des bombardements de civils accomplis par l’Oncle Sam, ce pays maçonnique et donc luciférien ? On y est accueilli par une statue de Lucifer, pudiquement appelée « de la liberté ». Mais il vaut mieux, pour les lucifériens, ne pas évoquer leurs dizaines de millions de cadavre en deux ou trois siècles, et pleurer sur les dizaines de milliers de victimes de bûchers (y compris non catholiques) des quatorze siècles de christianisme.

      En un peu plus de deux siècles, les régimes lucifériens ont commis plus de crimes que tous les siècles passés réunis ; et c’est normal : eux seuls ont libéré les instincts en proclamant la loi de la jungle pour seule norme morale.

      C’est pourquoi ils donnent des leçons aux autres.

      Et, ignorants, les adorateurs de Lucifer ne savent pas qu’ils répètent des mots d’ordre identiques à ceux d’une secte religieuse, certes peu connue des peuples qui furent chrétiens.

      Vajda Georges. Scholem (Gershom G.). — Major Trends in Jewish Mysticism. 1941. In: Revue des études juives, tome 7
      (107),1946. pp. 163-189 (pages 187 et 188) :
      https://www.persee.fr/doc/rjuiv_0484-8616_1946_num_107_7_6013_t1_0163_0000_4
      « La naissance du mouvement sabbataïste hérétique est un des événements les plus considérables dans l’histoire religieuse du judaïsme. « Le sabbataïsme représente la première révolte sérieuse dans le judaïsme depuis le moyen âge [l’auteur pense sans doute aux mouvements sectaires des VIIIe-IXe siècles] ; ce fut le premier cas où des idées mystiques conduisirent tout droit à une rupture entre le judaïsme orthodoxe et les « croyants ». Son mysticisme hérétique provoqua une explosion de tendances nihilistes plus ou moins voilées parmi ses sectateurs. Enfin, il encouragea une sorte d’anarchisme religieux à base mystique, lequel, coïncidant avec des circonstances extérieures favorables, jouerait un rôle de la plus haute importance dans la création d’une atmosphère morale et intellectuelle propice au mouvement de réforme du XIXe siècle ». Des faits très précis prouvent effectivement la filiation ou les accointances sabbataïstes ou frankistes (voir plus loin) de plusieurs personnalités juives qui ont pris une part plus ou moins importante dans les mouvements de réforme politique et religieuse à partir de la Révolution française.

      Après l’apostasie du Messie, la tâche qui s’imposa aux croyants fut de montrer que malgré les apparences il n’y avait pas de rupture entre la certitude interne de la Rédemption et le fiasco complet de sa réalisation sur le plan extérieur. Ce qui aida bien des adeptes à accepter le paradoxe d’un Messie apostat fut, entre autres, la disposition mentale créée dans de larges couches du judaïsme d’origine espagnole par le phénomène du marranisme, par la nécessité où s’étaient trouvés de nombreux Juifs de l’époque ou leurs ascendants immédiats de professer extérieurement une religion à laquelle ils n’avaient jamais donné la moindre adhésion intérieure. Rien de surprenant que le plus grand théoricien du sabbataïsme à côté de Nathan de Gaza, Abraham Miguel Cardoso, lui-même né et élevé dans le catholicisme espagnol, ait enseigné que par suite des péchés tous les Israélites étaient voués à être Marranes ; la clémence divine leur évita cependant cette situation épouvantable, en imposant le suprême sacrifice au Messie dont l’âme est la seule capable de supporter cette destinée sans succomber. En deuxième lieu, prolongeant dans un sens inattendu la doctrine lurianiste du recueillement des étincelles divines comme condition de la séparation définitive du bien et du mal, Nathan en vint à soutenir que cette tâche ne pouvait être menée à bonne fin que si le Messie lui-même descendait dans l’abîme du mal. La Rédemption s’étendra sur le monde extérieur seulement lorsque le Messie aura atteint le terme de ce voyage. Et comme la transformation du monde actuel implíque aussi la disparition de ces aspects de la Tora qui ne sont valables que pour l’éon présent, les actes contraires à la Loi, commis par le Messie, qui est, lui, précisément à la limite de l’éon qui passe et de celui qui vient, prennent la signification d’actes sacramentels, spécimens de la nouvelle Tora, qui est d’ailleurs l’ancienne, la loi cosmique d’un univers non encore corrompu. Seulement, pour les Sabbataïstes modérés, ces actions ne devraient pas être imitées par les fidèles ; ceux-ci sont tenus à l’observance rigoureuse de l’ancienne Loi, en attendant la manifestation définitive de la rédemption messianique. L’aile radicale du sabbataïsme prêcha par contre l’imitation du Messie en la descente dans les gouffres du mal, la nécéssité de battre les puissances des ténèbres avec leurs propres armes, bref un complet nihilisme religieux. Cette tendance s’épanouit pleinement au milieu du XVIIIe siècle, dans la secte fondée par Jacob Frank, personnalité sinistre, mais farouchement énergique, dévorée par la volonté de puissance. Nous y retrouvons, en plus, les vieux thèmes du gnosticisme anomiste : tout est pur pour les purs, la règle faite pour les imparfaits ne s’applique pas à l’élite. Qu’importent les formes extérieures dans lesquelles les élus sont contraints de vivre, alors que la rédemption, la libération interne est accomplie. Se faire Musulmans comme les dönme de Salonique, se convertir au catholicisme comme Frank ou rester dans le judaïsme comme la majorité écrasante des Sabbataïstes même extrémistes, c’est tout un. Rien d’étonnant qu’à la Révolution française, l’affranchissement intérieur de maint Sabbataïste notoire se soit créé un exutoire dans l’activité politique, comme ce fut le cas de ce Junius Frey, de son vrai nom Moïse Dobruchka, qui mourut sur l’échafaud avec Danton, en 1794. »

      Et maintenant un extrait d’Étude sur la franc-maçonnerie américaine, d’Arthur Preuss :

      « Telle est la doctrine de la Maçonnerie sur l’àme humaine : doctrine découpée, divisée entre un grand nombre de degrés, manifestée, peu à peu, comme une Sagesse merveilleuse à l’initié, alors qu’il peut la trouver avec moins de peine et avec une clarté et un ordre supérieurs dans la Jewish Encyclopædia (l’Encyclopédie juive), sous la rubrique « Cabala ». »

      L’ouvrage montre que la franc-maçonnerie est luciférienne. Les régimes actuels sont maçonniques, donc lucifériens. Que les lucifériens contemplent l’œuvre qui est la leur, et les flots de sang et d’oppression dont ils sont la source.

    2. J’avais commis une faute en recopiant le lien du commentaire du luciférien. Le voici, rectifié :
      https://catholiquedefrance.fr/comprendre-la-difference-entre-satanisme-et-luciferisme/#comment-2727

      Quiconque connaît même un peu ces sujets sait bien que le christianisme s’est développé d’abord dans l’État le plus centralisé de l’époque : l’Empire romain. Ce fut dans les œuvres de philosophes païens que les Pères de l’Église trouvèrent des bases séculaires à leur enseignement spirituel. Ce fut dans ce milieu que prospéra le christianisme, et ce furent les Barbares, tous envahisseurs païens, qui détruisirent l’État et la civilisation qui y prospérait.

      Une fois ce monde détruit, ce furent des moines qui copièrent les manuscrits antiques et les conservèrent (voir Aristote au Mont-Saint-Michel, de Sylvain Gouguenheim, par exemple). L’Église appuya les souverains contre les prétentions des féodaux, favorisant ainsi le (lent) retour à la forme d’État dans laquelle elle était née et s’était épanouie. Richelieu ou Louis XIV furent ainsi de parfaits héritiers de Constantin le Grand. Et la révolution fut bien la mise à mort d’un roi chrétien : Louis XVI.

      Bien sûr, la Renaissance, hormis certains aspects philosophiques qui étaient des nouveautés, fut largement le fruit des efforts de conservation et de restauration dus à l’Église. Les papes du Quattrocento, comme Martin V et, avent eux, ceux du Trecento, furent parmi les principaux instigateurs de la Renaissance, qui eut l’Étzt du pape en Italie pour siège privilégié (voir, par exemple, The Renaissance in Rome, de Charles Stinger).

      Les auteurs adeptes de la cabale (parmi beaucoup d’autres, le célébrissimeVictor Hugo, bien sûr, et, plus près de nous, Umberto Eco, rendu presque aussi célèbre par une superproduction adaptée de sa grotesque farce romancière intitulée Le Nom de la rose) se donnèrent beaucoup de mal pour le faire oublier. Ils trouvèrent chez les obscurantistes de l’Église de précieux alliés. Leur terrain d’entente se trouve en leur commun manichéisme.

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