Qui sont les mondialistes ? – Stanislas Berton

Derrière le gouvernement visible se tient fermement assis sur son trône un gouvernement invisible qui n’admet ni responsabilité ni allégeance envers le peuple. La destruction de ce gouvernement invisible, le démantèlement de cette alliance impie entre un monde de l’entreprise corrompu et le monde politique qui l’est tout autant doit constituer la première tâche inscrite à l’agenda de tout homme d’État.

Théodore Roosevelt (1913)

Depuis plusieurs décennies, les peuples occidentaux subissent les assauts d’une guerre invisible qui leur est menée par une oligarchie mondialiste bien décidée à les éliminer ou à les asservir. Dans cette lutte à mort qui s’est engagée à l’insu de la majorité de la population, il est nécessaire de désigner clairement l’ennemi et d’en révéler la nature.

Pour commencer, déchirons le voile du mensonge : oubliez la démocratie, le pouvoir des présidents ou des institutions officielles. Toute cette hiérarchie officielle sert à dissimuler le fait que le véritable pouvoir se trouve concentré entre les mains d’un petit nombre de familles multimilliardaires dont les plus connues sont les Rockefeller, les Rothschild, les Wallenberg, les Warburg ou encore les Saoud, associées à des individus tels que George Soros, Bill Gates ou Klaus Schwab.

Ayant principalement connu  leur ascension au cours des trois derniers siècles, ces familles dominent le monde via leur contrôle des institutions financières comme la Banque des Règlements Internationaux (BIS) ainsi que les banques centrales, qui, pour la majorité d’entre elles comme la Federal Reserve américaine (FED) ou la Banque Centrale d’Angleterre, appartiennent en réalité non pas à l’État mais à des intérêts privés. Comme l’écrivait le Baron Nathan de Rothschild : « Je ne me soucie guère de la marionnette qui est assise sur le trône d’Angleterre. Qui contrôle la masse monétaire anglaise contrôle l’empire et je contrôle la masse monétaire.»

Loin d’être limité à la création monétaire et aux prêts aux États, ce contrôle économique s’étend à l’économie mondiale via des fonds d’investissement ou des holdings comme Vanguard et Blackrock détenant des participations dans 90% des entreprises cotées ainsi que dans les grands conglomérats médiatiques comme Disney ou Comcast. Sur le plan politique, des institutions internationales telles que la Commission Trilatérale, le groupe Bildeberg, le Council on Foreign Relations (CFR) ou encore le World Economic Forum (WEF) décident d’une feuille de route qui sera ensuite mise en application, sous couvert de démocratie, par des représentants soigneusement identifiés, formés et sélectionnés en amont et le plus souvent élus grâce à un système sophistiqué de fraude électorale.

Nous sommes très fiers d’avoir pénétré tous les gouvernements de la planète et d’avoir des gens à nous comme Trudeau et Macron à la tête des états

Klaus Schwab – 2017

Alors qu’elles se trouvent en réalité au cœur de l’exercice du pouvoir à l’échelle mondiale, ces différentes instances demeurent méconnues d’un grand public maintenu à dessein dans l’illusion d’un choix démocratique exercé à l’échelle nationale. Notons qu’en plus de leur contrôle effectif de la politique et de l’économie, les mondialistes utilisent les normes, les institutions et le droit international pour orienter le système dans la direction voulue tandis que leur emprise sur les médias, l’industrie du divertissement (Hollywood), le monde universitaire, les ONG, est utilisée pour mettre en œuvre un programme de changement anthropologique d’une ampleur inouïe soutenu par des techniques sophistiquées de programmation mentale et d’ingénierie sociale. Prenez n’importe quelle évolution ayant marqué les sociétés occidentales au cours du dernier siècle de l’immigration de masse à la normalisation de l’homosexualité en passant par le travail des femmes, la déchristianisation ou la promotion de la contre-culture des années soixante et vous êtes certain d’y trouver la main des agents d’influence de l’oligarchie mondialiste.

Ne tolérant aucune véritable opposition à son projet, l’oligarchie mondialiste utilise la technique de « l’opposition contrôlée » pour maintenir l’illusion démocratique et neutraliser tout danger en amont mais n’hésite pas non plus à éliminer tous ceux susceptibles de lui faire obstacle comme le président Kennedy assassiné en 1963 ou le Général de Gaulle, victime de la « révolution de couleur » de mai 68. Ces dernières années, les attaques des mondialistes se sont concentrées en majeure partie sur la Russie de Vladimir Poutine ou l’Amérique de Donald Trump, deux pays et deux dirigeants coupables de défendre l’idée nationale et de refuser le projet et la tutelle du Nouvel Ordre Mondial. Pour exécuter leurs basses œuvres, les mondialistes peuvent s’appuyer sur leur contrôle des médias et de la justice mais aussi sur des services de renseignement noyautés et corrompus de longue date (FBI, CIA mais aussi le réseau Five Eyes), des groupes de mercenaires ainsi que sur l’organisation militaire à leur solde qu’est l’OTAN.

Malgré des variations selon les pays ou les époques, le mode opératoire des mondialistes pour déstabiliser un pays et en prendre le contrôle reste toujours le même :

-diaboliser la cible ou le régime que l’on cherche à abattre via des campagnes médiatiques calomnieuses

-utiliser des « experts » à leur solde pour promouvoir le changement qu’ils cherchent à mettre en œuvre ou pour décrédibiliser ceux qui s’y opposent

-financer une fausse opposition recrutée dans les milieux associatifs ou le nouveau lumpenprolétariat et l’utiliser comme cinquième colonne sous couvert de défense des minorités, de la démocratie ou des droits de l’homme

-créer un incident ou une crise pour déstabiliser la société

-utiliser cette crise pour justifier une intervention extérieure, renverser le pouvoir en place et le remplacer par un autre totalement inféodé à l’oligarchie mondialiste.

Démoralisation, déstabilisation, crise, normalisation : 4 étapes pour une stratégie de subversion parfaitement analysée et décrite par le transfuge du KGB et spécialiste de la subversion Yuri Bezmenov.

Dans le cadre de la lutte contre l’oligarchie mondialiste, il est nécessaire de comprendre que ses membres ne se contentent pas d’exercer le pouvoir ou de subvertir celui qu’ils cherchent à remplacer mais qu’ils entreprennent de façonner la réalité, voire même de réécrire l’Histoire dans un sens conforme à leurs intérêts de façon à donner l’impression d’un « progrès » continu et inéluctable tout en désignant systématiquement ceux qui s’y opposent comme des extrémistes, des réfractaires ou des complotistes.

Si les mondialistes aiment à se présenter comme des bienfaiteurs et des philanthropes ne souhaitant rien d’autre que d’utiliser la science et la technologie pour conduire l’Humanité vers la Raison et le Progrès, ils ne sont réalité qu’un groupe de psychopathes particulièrement brillants ayant réussi à transformer leurs troubles mentaux en un système politique et social, la pathocratie, et pour lesquels le reste de l’humanité n’est que du bétail, un simple cheptel devant être géré par une élite « éclairée ».

Dans ses grandes lignes, le projet des mondialistes pour l’humanité pourrait être résumé aux objectifs suivants :

-la destruction des États-nations et leur remplacement par une gouvernance mondiale

-la mise en place d’un projet transhumaniste visant à « améliorer » l’Homme  par la science et aboutir à la fusion du physique, du biologique et du digital

-l’élimination de la population inutile excédentaire, rendu possible et nécessaire par les développements de l’intelligence artificielle et de la robotique ainsi que l’épuisement des ressources

– la mise en place d’un néo-féodalisme combinant la suppression de la propriété privée et la mise en place d’un système sophistiqué de contrôle social via l’identité numérique et le crédit social.

Bien qu’ils cherchent à détruire les sociétés traditionnelles et les religions qui les structurent au nom de la « Raison » et du « Progrès », les mondialistes sont en réalité profondément religieux et vouent un culte à une religion archaïque qui est celle de Lucifer, le “porteur de lumière”. Derrière les portes closes de leurs temples impies, les mondialistes vénèrent Satan, « le prince de ce monde », créature transgenre chez laquelle tout n’est qu’inversion, corruption et rébellion contre l’ordre naturel créé par Dieu. En parfaits psychopathes, les mondialistes s’identifient à cet ange déchu en révolte contre Dieu et considèrent que la morale traditionnelle fondée sur une distinction claire entre le bien et le mal ou le vrai et le faux ne concerne que la masse du troupeau et non la minorité « d’élus » capables de penser, vivre et agir  « au-delà du bien et du mal ».

(…)

Lire la suite de l’article sur : http://stanislasberton.com/index.php/2019/11/16/des-mondialistes/

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2 thoughts on “Qui sont les mondialistes ? – Stanislas Berton

  1. Il y a à redire : pour l’essentiel c’est vrai, mais il y a des inexactitudes (la citation, douteuse, prêtée tantôt à Mayer Amschel et tantôt à son fils Nathan Rothschild, et ici présentée en outre dans une forme tardive et aggravée par rapport à la première version ayant circulé), des extrapolations manichéennes (la Russie n’est ni l’Enfer ni le Paradis, elle s’oppose à maints aspects du « Nouvel Ordre mondial » mais appuie toute sa conception politique sur les mensonges qui en permettent le progrès, et les opposants à l’impérialisme des États-Unis comme elle ou la Chine ont été parmi les pires pangolineurs covidiens), des cautions apportés à des fantaisistes comme Alex Jones ou à des cas plus douteux encore comme « Q », que l’on blanchirait en le supposant multiple ! Rappelons que ceux qui ont suivi jusqu’au bout les « informations » signées de ce pseudo nous ont assuré que Trump avait fait marquer préventivement les bulletins de vote lors de la campagne pour sa réélection afin de prouver la fraude et démasquer les fraudeurs, puis ils ont cru ses affirmations selon lesquelles l’armée des États-Unis venait de réaliser un coup d’État et remettre Trump au pouvoir, et ainsi de suite. D’ailleurs, les zigotos qui ont répandu ces âneries, comme par hasard, sont tous des anti-mondialistes du genre qui ne peut prospérer que dans le monde au drapeau noachique arc-en-ciel. Passons donc à plus sérieux que ces opposants dont le cœur aspire au mal que leur tête veut dénoncer, ces mondialistes malgré eux, ces ridiculiseurs des vrais opposants.

    1. La citation (apocryphe) d’origine :

      Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je ne me soucie pas de qui en fait les lois.

      Elle apparaît au dix-neuvième siècle comme une description de la façon dont on perçoit l’attitude des Rothschild, et sous cette forme il n’y a rien à redire. Mais au vingtième siècle, à force de l’avoir entendue, des auteurs la prêtent à Mayer Amschel, fondateur de la dynastie de banquiers qui allait bientôt se faire appeler Rothschild (bouclier rouge ou écu rouge, à cause de l’enseigne utilisée par la famille).
      https://history.stackexchange.com/questions/7887/did-rothschild-say-this-famous-quote-if-yes-what-did-he-mean-by-it

      C’esr facile à vérifier, et pour un chrétien il est honteux de violer les Commandements en diffusant des accusations que k’on sait infondées. Chacun peut bien sûr être trompé, mais une fois qu’on a conscience de l’erreur, plus aucune excuse n’existe.

      Quant aux citations et aux faits, nombreux et vérifiables, sur lesquels on peut s’appuyer pour dénoncer le pouvoir financier et son emprise sur la politique, on s’étonnera (du moins je l’espère) que des Alex Jones ou des invités de Sud Radio en citent parcimonieusement.

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