REYNALD SECHER : la Vendée, matrice du totalitarisme.

Reynald Secher est un historien, écrivain et scénariste français. Ses travaux portent principalement sur la guerre de Vendée. Reynald Secher a spécialisé ses recherches universitaires et consacré un « ensemble » de publications à ce qu’il appelle le « génocide vendéen » qui aurait été mis en œuvre par Robespierre et les membres du Comité de salut public et de la Convention montagnarde entre 1793 et 1794. Il est en outre l’auteur du néologisme « mémoricide » qu’il propose de rajouter, comme quatrième « crime de génocide », à la définition du juriste polonais Raphael Lemkin (auteur du terme « génocide »). Reynald Secher est également un scénariste de bandes dessinées à caractère historique ou religieux, et un réalisateur de documentaires régionalistes qu’il auto-édite par sa société R.S.E. (Reynald Secher Éditions).

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8 thoughts on “REYNALD SECHER : la Vendée, matrice du totalitarisme.

  1. Bonjour.
    Vendéen habitant Saint Hilaire de Loulay, le prêtre qui a officié pour la messe du 15 Aout 2023 à la chapelle basse mer nous a conseillé de joindre Mr Reynal SECHER pour avancer sur un projet de reconstruction d’un statue privée de Saint anne qui a été vandalisé sur la Départementale 77. Comment disposer de son contact ? Merci pour votre réponse. Bien cordialement

  2. COMMENTAIRE MORCELÉ, CAR JE NE SAIS CE QUI Y POSE PROBLÈME

    Une question historique suffisamment importante pour imposer qu’on fasse ici quelques remarques.

    1. Apparemment, la seule référence à la réponse parue dans Le Monde (malgré mes réserves, puisque je ne suis pas d’accord non plus avec ce point de vue) est interdite ici, même en ne donnant que son titre.

      1. Rappeler le massacre de Magdebourg, rappeler les guerres de religion, rappeler la preuve que je crois avoir ici même rapportée du rôle des précurseurs de la Ligue catholique dans les pires atrocités du massacre de la Saint Barthélémy – est-ce donc interdit ?

        1. https://en.wikipedia.org/wiki/Sack_of_Magdeburg
          Qu’on s’intéresse donc au bilan de la guerre de Trente Ans (de 1618 à 1648), et on verra ce qu’il en est des bilans des pertes.

          Ai-je le droit de dire que les massacres de la révolution ont été faits par des gens qui avaient des convictions religieuses – certes pas catholiques – et poursuivaient aussi des buts politiques ?

          Ai-je le droit de dire que les massacreurs de Magdebourg et de la Saint Barthélémy avaient des convictions religieuses et des objectifs politiques à la fois ?

          1. Et ai-je le droit de conclure que le Christ, lui, a enseigné que son Royaume n’est pas de ce monde, tandis que ceux qui, massacreurs de la Vendée, ou de Magdebourg, ou de la Saint Barthélémy, refusent ce message, ne sont pas nés en 1789 ?

          2. Voici une autre formulation d’une précision que j’ai voulu apporter, et dont je ne sais pourquoi elle fut refusée :

            On estime aujourd’hui qu’environ un tiers de la population de l’Empire germanique disparut lors de la guerre de Trente Ans, guerre de religion qui de 1618 à 1648 opposa les catholiques aux protestants.
            https://en.wikipedia.org/wiki/Thirty_Years'_War#Human_and_financial_cost_of_the_war

            The modern consensus is the population of the Holy Roman Empire declined from 18 to 20 million in 1600 to 11 to 13 million in 1650, and did not regain pre-war levels until 1750.

          3. Et jamais je n’ai lu qu’un État aurait perdu même 20 % de sa population lors d’une des guerres mondiales – a-t-on le droit de le rappeler ?

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